Cécile PSALTOPOULOS

Compétition création - Court métrage
Marathon d’écriture du court métrage en 48 heures

Après de premières études d’Histoire clôses par un séjour de deux ans en Angleterre au cours duquel elle approfondît son goût pour la photographie argentique et l’histoire industrielle, Cécile Psaltopoulos est revenue sur Lyon à l’âge de 22 ans et s’est redirigée vers des études de cinéma. Combinant son goût pour les histoires et l’image, Cécile a réalisé deux courts métrages : Valse à vingt ans en 2013, fiction traitant de deux jeunes femmes à leur sortie de prison, et Auto-khthôn en 2014, documentaire sur la situation paysanne en France.
Elle finit actuellement l’écriture de son troisième scénario, Le Soleil qui viendra, autour d’une relation fraternelle perturbée par la maladie. Fortement influencée par le néo-réalisme italien de De Sica, les personnages et mises en scène de Cassavetes (notamment Opening Night, 1977), et la puissance des récits en docu-fiction (Moi, un noir, 1958 et Les maîtres fous, 1955, de Jean Rouch), Cécile Psaltopoulos aime aussi puiser dans la peinture (Richter, Basquiat) et la photographie (Kertesz) ses graines de récit.

Après de premières études d’Histoire clôses par un séjour de deux ans en Angleterre au cours duquel elle approfondît son goût pour la photographie argentique et l’histoire industrielle, Cécile Psaltopoulos est revenue sur Lyon à l’âge de 22 ans et s’est redirigée vers des études de cinéma. Combinant son goût pour les histoires et l’image, Cécile a réalisé deux courts métrages : Valse à vingt ans en 2013, fiction traitant de deux jeunes femmes à leur sortie de prison, et Auto-khthôn en 2014, documentaire sur la situation paysanne en France.
Elle finit actuellement l’écriture de son troisième scénario, Le Soleil qui viendra, autour d’une relation fraternelle perturbée par la maladie. Fortement influencée par le néo-réalisme italien de De Sica, les personnages et mises en scène de Cassavetes (notamment Opening Night, 1977), et la puissance des récits en docu-fiction (Moi, un noir, 1958 et Les maîtres fous, 1955, de Jean Rouch), Cécile Psaltopoulos aime aussi puiser dans la peinture (Richter, Basquiat) et la photographie (Kertesz) ses graines de récit.