Gilles TRINQUES

Très tôt en rupture, je pars, je me sauve. Je fais mes premiers pas d’autodidacte comme ouvrier agricole. Ma première envie est celle du théâtre, mais je m’envole pour l’Afrique. Engagement humanitaire, le déséquilibre des échanges, Bob Denard et la Françafrique. Dès mon retour, la musique s’impose comme une évidence.
Le théâtre se réinvite. Comme un rempart, pour apprendre à parler. Envie de risquer, de jouer. Je mène au gré des rencontres une réflexion autour du commun, du jeu, de la folie, du pouvoir pour dévoiler notre si fragile vernis d’humanité, et préférer invariablement l’engagement au narcissisme, la générosité au cynisme.
Naît lentement l’envie d’écrire mes histoires, d’allier regard politique et recherche formelle. Après l’atelier scénario fiction de la Fémis, je réalise La part du solidaire, un documentaire sur un projet d’Épicerie, remarquable pour sa clairvoyance sociale. Irremplaçable est soutenu par l’Aide à la réécriture du CNC. (2015)

Très tôt en rupture, je pars, je me sauve. Je fais mes premiers pas d’autodidacte comme ouvrier agricole. Ma première envie est celle du théâtre, mais je m’envole pour l’Afrique. Engagement humanitaire, le déséquilibre des échanges, Bob Denard et la Françafrique. Dès mon retour, la musique s’impose comme une évidence.
Le théâtre se réinvite. Comme un rempart, pour apprendre à parler. Envie de risquer, de jouer. Je mène au gré des rencontres une réflexion autour du commun, du jeu, de la folie, du pouvoir pour dévoiler notre si fragile vernis d’humanité, et préférer invariablement l’engagement au narcissisme, la générosité au cynisme.
Naît lentement l’envie d’écrire mes histoires, d’allier regard politique et recherche formelle. Après l’atelier scénario fiction de la Fémis, je réalise La part du solidaire, un documentaire sur un projet d’Épicerie, remarquable pour sa clairvoyance sociale. Irremplaçable est soutenu par l’Aide à la réécriture du CNC. (2015)