Koya KAMURA

Compétition création - Court métrage
Marathon d’écriture du court métrage en 48 heures

« Rhoo, la scène de l’alien qui sort du ventre pendant le repas ! », « Mais… en fait, Bruce Willis, c’est un fantôme », « On attend pas votre sœur ? ahah ! » sont toutes des phrases prononcées par Koya Kamura.
Du Parrain (F. Coppola, 1972) aux Bronzés font du ski (P. Leconte, 1979), en passant par Les Bêtes du sud sauvage (B. Zeitlin, 2012), La Vie d’Adèle (A. Kechiche, 2013) et X-Men 2 (B. Singer, 2003), son amour du cinéma est sans limite (si ce n’est un ou deux gros cartons de la comédie française).
C’est donc tout naturellement qu’il s’oriente vers la réalisation de publicités pour des Yaourts, des chaussures ou des mutuelles. Fort de cette expérience, et rassasié de « PPM » (pré-production meeting agence / client), Koya Kamura ressort ses vieux cahiers pleins de bribes de scénarios. C’est avec effroi qu’il découvre que tout est très mauvais.
Son affiche de Rocky (J. Avildsen, 1976), lui apporte l’espoir et le pousse a écrire, avec des fautes d’orthographe, ses propres histoires, en espérant un jour les mettre en scène. Si Stallone l’a fait, pourquoi pas lui.

« Rhoo, la scène de l’alien qui sort du ventre pendant le repas ! », « Mais… en fait, Bruce Willis, c’est un fantôme », « On attend pas votre sœur ? ahah ! » sont toutes des phrases prononcées par Koya Kamura.
Du Parrain (F. Coppola, 1972) aux Bronzés font du ski (P. Leconte, 1979), en passant par Les Bêtes du sud sauvage (B. Zeitlin, 2012), La Vie d’Adèle (A. Kechiche, 2013) et X-Men 2 (B. Singer, 2003), son amour du cinéma est sans limite (si ce n’est un ou deux gros cartons de la comédie française).
C’est donc tout naturellement qu’il s’oriente vers la réalisation de publicités pour des Yaourts, des chaussures ou des mutuelles. Fort de cette expérience, et rassasié de « PPM » (pré-production meeting agence / client), Koya Kamura ressort ses vieux cahiers pleins de bribes de scénarios. C’est avec effroi qu’il découvre que tout est très mauvais.
Son affiche de Rocky (J. Avildsen, 1976), lui apporte l’espoir et le pousse a écrire, avec des fautes d’orthographe, ses propres histoires, en espérant un jour les mettre en scène. Si Stallone l’a fait, pourquoi pas lui.