Matthieu BUCHALSKI

Compétition création - Court métrage
Marathon d’écriture du court métrage en 48 heures

En 2007, Matthieu Buchalski clôt ses études de cinéma d’animation à l’école Supinfocom de Valenciennes, avec un film : Camera Obscura. Ce court métrage de sept minutes, co-réalisé avec Thierry Onillon et Jean-Michel Deschler, mélangeant images réelles et images de synthèse, remporte en 2008 de nombreux prix en festivals et notamment celui du meilleur film de fin d’étude à Annecy.
Galvanisé par cette expérience, il relance un projet de court métrage, l’année suivante, avec Thierry Onillon. Quatre ans plus tard sort Le Printemps de Bernard, un film absurde, traitant de la rencontre entre un homme banal et une majestueuse sculpture antique.
Mûr de ces deux expériences, Matthieu prend conscience que l’étape qu’il affectionne le plus dans l’élaboration d’un film est celle de l’écriture. Délaissant les tournages, il s’affaire dorénavant dans l’intimité de son bureau sur des histoires de moins en moins oniriques, de plus en plus désenchantées. Parmi elles, Film n°12 et L’Art de la pêche, présentées à la sélection du marathon d’écriture de Valence.

En 2007, Matthieu Buchalski clôt ses études de cinéma d’animation à l’école Supinfocom de Valenciennes, avec un film : Camera Obscura. Ce court métrage de sept minutes, co-réalisé avec Thierry Onillon et Jean-Michel Deschler, mélangeant images réelles et images de synthèse, remporte en 2008 de nombreux prix en festivals et notamment celui du meilleur film de fin d’étude à Annecy.
Galvanisé par cette expérience, il relance un projet de court métrage, l’année suivante, avec Thierry Onillon. Quatre ans plus tard sort Le Printemps de Bernard, un film absurde, traitant de la rencontre entre un homme banal et une majestueuse sculpture antique.
Mûr de ces deux expériences, Matthieu prend conscience que l’étape qu’il affectionne le plus dans l’élaboration d’un film est celle de l’écriture. Délaissant les tournages, il s’affaire dorénavant dans l’intimité de son bureau sur des histoires de moins en moins oniriques, de plus en plus désenchantées. Parmi elles, Film n°12 et L’Art de la pêche, présentées à la sélection du marathon d’écriture de Valence.