Max DISBEAU

Compétition création - Web-Série
Workshop Magic Web Labo

Max DISBEAUX

Après des études en sciences politiques (Aix-en Provence / Londres) et en cinéma (Berlin), Max Disbeaux a réalisé des documentaires pour des radios publiques allemandes (RBB, SWR, MDR) et francophones (RTBF, France culture) en vivant à Sarajevo, Istanbul, Berlin. Il s’est ensuite investi dans l’audiovisuel et le numérique et a réalisé des formats courts documentaires pour Alsace 20, la télévision suisse romande, puis un documentaire de 52 minutes, Les Obstinés du ried (2012 - Alsace 20 - CNC). En 2013, il a réalisé une web-série de fiction pour France Culture, Une vie de pro (2013 - France Culture - soutien ACA, DRAC). En 2014, il a initié le projet transmedia Pose ton flow. Il a participé à de nombreuses formations comme European SOcial DOCumentary (ESODOC 2012) ou les Ateliers Varan (2014). Son travail a été récompensé par des nominations à des festivals (Festival international filmer le travail de Poitiers, le prix Farel suisse) et par le titre de chevalier des arts et des lettres.

Son projet : « Rappeur soviétique »

Le rap conscient ne nourrit plus ses artistes. Andreï s’en est bien rendu compte, ses titres sur la sauvegarde de la nature, la dénonciation de l’hypocrisie humaine n‘intéressent plus les jeunes. Brutalement rattrapé par son passé de réfugié politique, il doit réunir une grande somme d’argent pour sauver les siens. Il décide alors de changer de style et de faire du « rap sale », c’est le genre qui remplit les salles. Pour un français moyen, la banlieue c’est sale, l’Est et ses slaves aussi. Né en URSS, il y a 29 ans, il veut incarner le premier rappeur soviétique français. Non sans danger.

Max DISBEAUX

Après des études en sciences politiques (Aix-en Provence / Londres) et en cinéma (Berlin), Max Disbeaux a réalisé des documentaires pour des radios publiques allemandes (RBB, SWR, MDR) et francophones (RTBF, France culture) en vivant à Sarajevo, Istanbul, Berlin. Il s’est ensuite investi dans l’audiovisuel et le numérique et a réalisé des formats courts documentaires pour Alsace 20, la télévision suisse romande, puis un documentaire de 52 minutes, Les Obstinés du ried (2012 - Alsace 20 - CNC). En 2013, il a réalisé une web-série de fiction pour France Culture, Une vie de pro (2013 - France Culture - soutien ACA, DRAC). En 2014, il a initié le projet transmedia Pose ton flow. Il a participé à de nombreuses formations comme European SOcial DOCumentary (ESODOC 2012) ou les Ateliers Varan (2014). Son travail a été récompensé par des nominations à des festivals (Festival international filmer le travail de Poitiers, le prix Farel suisse) et par le titre de chevalier des arts et des lettres.

Son projet : « Rappeur soviétique »

Le rap conscient ne nourrit plus ses artistes. Andreï s’en est bien rendu compte, ses titres sur la sauvegarde de la nature, la dénonciation de l’hypocrisie humaine n‘intéressent plus les jeunes. Brutalement rattrapé par son passé de réfugié politique, il doit réunir une grande somme d’argent pour sauver les siens. Il décide alors de changer de style et de faire du « rap sale », c’est le genre qui remplit les salles. Pour un français moyen, la banlieue c’est sale, l’Est et ses slaves aussi. Né en URSS, il y a 29 ans, il veut incarner le premier rappeur soviétique français. Non sans danger.