Ronan BERTRAND

J’ai grandi dans la Drôme, et c’est le désir d’exploiter l’atmosphère des petites villes et les préoccupations des gens qui y vivent, qui m’a conduit à faire une école de cinéma. Mon premier court-métrage Mauvais Frères s’est immédiatement inscrit à la croisée de la chronique sociale et du film noir. Il a été diffusé dans de nombreux festivals, et a reçu plusieurs prix.
Après diverses réalisations de vidéoclips sur Paris, j’ai été admis en 2015 à l’atelier scénario de la Fémis où, sous la direction de Jacques Akchoti, je viens de terminer la première mouture de Parfois l’effroi - un long-métrage qui poursuit la veine de mes premières envies : celles de dresser le portrait d’une jeunesse invisible, déchirée par l’ennui, la violence et la mélancolie.

Ronan Bertrand sera présent lors du Festival du 6 au 9 avril 2016.

J’ai grandi dans la Drôme, et c’est le désir d’exploiter l’atmosphère des petites villes et les préoccupations des gens qui y vivent, qui m’a conduit à faire une école de cinéma. Mon premier court-métrage Mauvais Frères s’est immédiatement inscrit à la croisée de la chronique sociale et du film noir. Il a été diffusé dans de nombreux festivals, et a reçu plusieurs prix.
Après diverses réalisations de vidéoclips sur Paris, j’ai été admis en 2015 à l’atelier scénario de la Fémis où, sous la direction de Jacques Akchoti, je viens de terminer la première mouture de Parfois l’effroi - un long-métrage qui poursuit la veine de mes premières envies : celles de dresser le portrait d’une jeunesse invisible, déchirée par l’ennui, la violence et la mélancolie.

Ronan Bertrand sera présent lors du Festival du 6 au 9 avril 2016.