Alexandre Desplat

Compositeur

« La musique existe dans l’image, avec ostentation ou avec discrétion, et elle existe aussi en dehors du film et de l’image. Elle a sa propre vie. »
Alexandre Desplat

Si ses partitions pour Jacques Audiard, Sur mes lèvres (2001) ou De battre mon cœur s’est arrêté (2005), sont ses lettres de noblesse au sein du cinéma français, c’est avec ses compositions pour La Jeune Fille à la perle (2003) de Peter Webber, Birth (2004) de Jonathan Glazer ou Syriana (2005) de Stephen Gaghan qu’il devient l’un des compositeurs européens les plus actifs d’Hollywood.
Alexandre Desplat est, avec près de deux cent créations, l’un des compositeurs les plus prolifiques de sa génération et l’un des plus dignes héritiers des maîtres français de la musique de film que sont Georges Delerue, Antoine Duhamel, Michel Legrand ou Maurice Jarre. Philippe de Broca et Francis Girod, avec lesquels il collabore, déclarent d’ailleurs avoir enfin trouvé un successeur à Georges Delerue.
Parmi ses partitions les plus remarquées, on trouve Coco avant Chanel (2009) d’Anne Fontaine, L’Armée du Crime (2009) de Robert Guédiguian, Largo Winch (2008) de Jérôme Salle, L’Ennemi intime (2007) et Hostage (2005) de Florent Siri, Réparer les vivants (2016) de Katell Quillévéré, L’Odyssée (2016) de Jérôme Salle ou encore le prochain Valérian et la Cité des milles planètes (sorti prévue en juillet 2017) de Luc Besson.

Menant de front collaborations européennes et carrière américaine, Alexandre Desplat reçoit plus d’une centaine de récompenses. Plusieurs fois nommé aux Oscar pour, entre autres, The Queen (2006) de Stephen Frears, L’Étrange Histoire de Benjamin Button (2008) de David Fincher ou Le Discours d’un roi (2010) de Tom Hooper, il reçoit la célèbre statuette pour The Grand Budapest Hôtel (2014) de Wes Anderson pour lequel il est également récompensé par un BAFTA (British Academy Film Award).
Une carrière exceptionnelle couronnée par de nombreux prix dont un Golden Globe pour Le Voile des illusions (2006) de John Curran, un Grammy Award pour Le Discours d’un roi de Tom Hooper et, en France, trois César pour De battre mon cœur s’est arrêté et De rouille et d’os (2012) de Jacques Audiard et The Ghost Writer (2010) de Roman Polanski.

Membre du jury du Festival de Cannes en 2012, il devient en 2014 le premier compositeur Président du Jury de la Mostra de Venise. Après de longues années de collaboration, il dirige le fameux London Symphony Orchestra en décembre 2014 pour un concert de ses œuvres au Barbican Theater de Londres.

« La musique existe dans l’image, avec ostentation ou avec discrétion, et elle existe aussi en dehors du film et de l’image. Elle a sa propre vie. »
Alexandre Desplat

Si ses partitions pour Jacques Audiard, Sur mes lèvres (2001) ou De battre mon cœur s’est arrêté (2005), sont ses lettres de noblesse au sein du cinéma français, c’est avec ses compositions pour La Jeune Fille à la perle (2003) de Peter Webber, Birth (2004) de Jonathan Glazer ou Syriana (2005) de Stephen Gaghan qu’il devient l’un des compositeurs européens les plus actifs d’Hollywood.
Alexandre Desplat est, avec près de deux cent créations, l’un des compositeurs les plus prolifiques de sa génération et l’un des plus dignes héritiers des maîtres français de la musique de film que sont Georges Delerue, Antoine Duhamel, Michel Legrand ou Maurice Jarre. Philippe de Broca et Francis Girod, avec lesquels il collabore, déclarent d’ailleurs avoir enfin trouvé un successeur à Georges Delerue.
Parmi ses partitions les plus remarquées, on trouve Coco avant Chanel (2009) d’Anne Fontaine, L’Armée du Crime (2009) de Robert Guédiguian, Largo Winch (2008) de Jérôme Salle, L’Ennemi intime (2007) et Hostage (2005) de Florent Siri, Réparer les vivants (2016) de Katell Quillévéré, L’Odyssée (2016) de Jérôme Salle ou encore le prochain Valérian et la Cité des milles planètes (sorti prévue en juillet 2017) de Luc Besson.

Menant de front collaborations européennes et carrière américaine, Alexandre Desplat reçoit plus d’une centaine de récompenses. Plusieurs fois nommé aux Oscar pour, entre autres, The Queen (2006) de Stephen Frears, L’Étrange Histoire de Benjamin Button (2008) de David Fincher ou Le Discours d’un roi (2010) de Tom Hooper, il reçoit la célèbre statuette pour The Grand Budapest Hôtel (2014) de Wes Anderson pour lequel il est également récompensé par un BAFTA (British Academy Film Award).
Une carrière exceptionnelle couronnée par de nombreux prix dont un Golden Globe pour Le Voile des illusions (2006) de John Curran, un Grammy Award pour Le Discours d’un roi de Tom Hooper et, en France, trois César pour De battre mon cœur s’est arrêté et De rouille et d’os (2012) de Jacques Audiard et The Ghost Writer (2010) de Roman Polanski.

Membre du jury du Festival de Cannes en 2012, il devient en 2014 le premier compositeur Président du Jury de la Mostra de Venise. Après de longues années de collaboration, il dirige le fameux London Symphony Orchestra en décembre 2014 pour un concert de ses œuvres au Barbican Theater de Londres.