Daniel DESHAYS

Concepteur sonore
Tuteur Formation Portraits sonores
Présence au Festival
Du mercredi 4 au samedi 7 avril 2018

Daniel Deshays collabore avec de nombreux cinéastes dont Chantal Akerman, Robert Bober, François Caillat, Jean-Michel Carré, Robert Doisneau, Philippe Garrel, Agnès Jaoui, Robert Kramer, Ariane Mnouchkine, Rithy Panh...
Au cours de sa carrière, il effectue la prise de son ou la création sonore de nombreux disques, films et pièces de théâtre.
Auteur de Pour une écriture du son, Entendre le cinéma et Sous l’avidité de mon oreille (éditions Klincksieck), il a été responsable de l’enseignement du son à l’ENSATT et enseigne à La Fémis et aux Ateliers Varan.
Il aime partager son expérience de ce qu’il nomme « l’écriture du son » :
« Et si l’on considérait le cinéma comme une gigantesque machine à faire entendre ? Une machine qui s’aiderait de l’image pour désigner et préciser l’écoute, une machine à dire le monde, conçue pour nous permettre de nous entendre ? Le sonore exige lui aussi sa mise en scène. Face à l’épaisseur du son, ne faudrait-il pas se résoudre à son éclaircissement ? »

Daniel Deshays collabore avec de nombreux cinéastes dont Chantal Akerman, Robert Bober, François Caillat, Jean-Michel Carré, Robert Doisneau, Philippe Garrel, Agnès Jaoui, Robert Kramer, Ariane Mnouchkine, Rithy Panh...
Au cours de sa carrière, il effectue la prise de son ou la création sonore de nombreux disques, films et pièces de théâtre.
Auteur de Pour une écriture du son, Entendre le cinéma et Sous l’avidité de mon oreille (éditions Klincksieck), il a été responsable de l’enseignement du son à l’ENSATT et enseigne à La Fémis et aux Ateliers Varan.
Il aime partager son expérience de ce qu’il nomme « l’écriture du son » :
« Et si l’on considérait le cinéma comme une gigantesque machine à faire entendre ? Une machine qui s’aiderait de l’image pour désigner et préciser l’écoute, une machine à dire le monde, conçue pour nous permettre de nous entendre ? Le sonore exige lui aussi sa mise en scène. Face à l’épaisseur du son, ne faudrait-il pas se résoudre à son éclaircissement ? »