Entretien avec Jean-Yves Arnaud

Fraîchement diplômé du CEEA, Jean-Yves participe au festival pour la première fois. Il fait partie des marathoniens du court-métrage en 48h de cette 19e édition.

Après 24h à plancher sur un sujet qui tourne autour de la présidentielle de 2017, proposé par Dan Franck, il nous accorde quelques minutes avant de se remettre au travail.

Le temps fort de sa journée ? Le tirage au sort de ses deux parrains d’écriture.

Les marathoniens doivent remettre une continuité dialoguée de 10 pages maximum, vendredi à 14h. L’intervention de Dan Franck, hier, a motivé les participants et a su les rassurer dans l’appréhension de ce sujet épineux…

Ambiance solidaire entre les jeunes auteurs qui n’hésitent pas à échanger et à s’épauler tout au long de l’épreuve. Si Jean-Yves a déjà une première version, il attend avec impatience les conseils de ses parrains pour pouvoir affiner son scénario.

Si le marathon porte bien son nom, la fatigue est vite dépassée tant l’expérience est enrichissante et stimulante.

Après 24h à plancher sur un sujet qui tourne autour de la présidentielle de 2017, proposé par Dan Franck, il nous accorde quelques minutes avant de se remettre au travail.

Le temps fort de sa journée ? Le tirage au sort de ses deux parrains d’écriture.

Les marathoniens doivent remettre une continuité dialoguée de 10 pages maximum, vendredi à 14h. L’intervention de Dan Franck, hier, a motivé les participants et a su les rassurer dans l’appréhension de ce sujet épineux…

Ambiance solidaire entre les jeunes auteurs qui n’hésitent pas à échanger et à s’épauler tout au long de l’épreuve. Si Jean-Yves a déjà une première version, il attend avec impatience les conseils de ses parrains pour pouvoir affiner son scénario.

Si le marathon porte bien son nom, la fatigue est vite dépassée tant l’expérience est enrichissante et stimulante.