Entretien avec Samuel Lepoil

Parmi les trois jurys du festival se trouve le jury Cartoucherie, chargé d’attribuer les Plumes de Cristal du meilleur projet de scénario d’animation, du meilleur projet de scénario de série web et du meilleur projet de création interactive/transmedia. De ses cinq membres, Samuel est le seul étudiant.

Son parcours :
Etudiant en M2 pro Audiovisuel à Paris IV, Samuel s’intéresse de près aux créations transmedia et aux infinies possibilités que cette discipline propose. S’il fait partie du jury, c’est précisément grâce à ce vif intérêt repérée par l’une de ses professeurs et à son expérience certifiée sur des projets de documentaires interactifs comme Do Not Track (Upian) ou plus récemment Comment j’ai découvert l’univers avec mes jambes (Museum d’Histoire Naturelle).

Sa vision de la compétition et des attentes qui en découlent :
Outre ses préférences personnelles, Samuel juge en premier la faisabilité des projets : ceux qui peuvent aboutir, sont prêts à être réellement développés et ne souffrent pas de problèmes de management d’équipe, de sujets trop restrictifs ou de problèmes de cible, par exemple.
Selon lui, le transmedia, discipline encore neuve et en plein processus de création, est freinée des clichés qui lui sont trop facilement attachés (non, faire une carte n’est pas indispensable !) et risque d’attirer – à tort – certains scénaristes frustrés par les carcans du scénario classique. Le terme souffre d’un certain manque de définition : le transmedia, ou plus justement peut-être « l’interactivité » est en re-définition perpétuelle.

Rôle du jury – et de Samuel ! :
Dans chaque catégorie, quatre projets sont pitchés au jury durant 14 minutes intenses et travaillées avec précision. La sélection, très hétérogène, n’est à l’origine pas particulièrement cadrée mais très riche en idées. Au cours des trois jours de workshop, guidés par des marraines et parrains et supervisés par Catherine Cuenca, les courageux participants ont l’occasion de re-travailler leurs projets, les perfectionner, de chercher des développeurs.
« Le festival, c’est surtout l’occasion de rêver. » Le transmedia, c’est tellement de possibilités à explorer qu’il ne faut pas hésiter à créer, inventer, imaginer tout ce qu’il y a de plus innovant et rafraîchissant. Pour Samuel, c’est clairement l’avenir de l’audiovisuel !
De quoi inspirer et motiver les scénaristes de créations interactives en devenir !

Son parcours :
Etudiant en M2 pro Audiovisuel à Paris IV, Samuel s’intéresse de près aux créations transmedia et aux infinies possibilités que cette discipline propose. S’il fait partie du jury, c’est précisément grâce à ce vif intérêt repérée par l’une de ses professeurs et à son expérience certifiée sur des projets de documentaires interactifs comme Do Not Track (Upian) ou plus récemment Comment j’ai découvert l’univers avec mes jambes (Museum d’Histoire Naturelle).

Sa vision de la compétition et des attentes qui en découlent :
Outre ses préférences personnelles, Samuel juge en premier la faisabilité des projets : ceux qui peuvent aboutir, sont prêts à être réellement développés et ne souffrent pas de problèmes de management d’équipe, de sujets trop restrictifs ou de problèmes de cible, par exemple.
Selon lui, le transmedia, discipline encore neuve et en plein processus de création, est freinée des clichés qui lui sont trop facilement attachés (non, faire une carte n’est pas indispensable !) et risque d’attirer – à tort – certains scénaristes frustrés par les carcans du scénario classique. Le terme souffre d’un certain manque de définition : le transmedia, ou plus justement peut-être « l’interactivité » est en re-définition perpétuelle.

Rôle du jury – et de Samuel ! :
Dans chaque catégorie, quatre projets sont pitchés au jury durant 14 minutes intenses et travaillées avec précision. La sélection, très hétérogène, n’est à l’origine pas particulièrement cadrée mais très riche en idées. Au cours des trois jours de workshop, guidés par des marraines et parrains et supervisés par Catherine Cuenca, les courageux participants ont l’occasion de re-travailler leurs projets, les perfectionner, de chercher des développeurs.
« Le festival, c’est surtout l’occasion de rêver. » Le transmedia, c’est tellement de possibilités à explorer qu’il ne faut pas hésiter à créer, inventer, imaginer tout ce qu’il y a de plus innovant et rafraîchissant. Pour Samuel, c’est clairement l’avenir de l’audiovisuel !
De quoi inspirer et motiver les scénaristes de créations interactives en devenir !