La Cérémonie d’ouverture du festival

"Le destin du cinéma français se trouve au fond des encriers". C’est en ces mots qu’Isabelle Massot, déléguée générale, déclare ouverte la 19ème édition du Festival International des Scénaristes de Valence.
Les discours de remerciements se succèdent sur l’éblouissante scène nationale du Lux. L’occasion pour le Préfet et le maire de la ville, Nicolas Daragon, de souhaiter la bienvenue aux festivaliers surexcités !
Animée par un Viktor Dekydère dynamique et mordant, la cérémonie est ponctuée de plusieurs interventions passionnantes.
L’occasion également de célébrer les vingt ans du CEEA, partenaire important du festival, avec la projection d’un film de montage drôle et original.
Pour ouvrir ce festival, ne pouvait-on pas rêver mieux que Pascal Bonitzer, venu présenter en avant-première son dernier opus Tout de suite, maintenant ? Fin, singulier et servi par un casting exceptionnel ; le film illustre le regard sur le cinéma du réalisateur : "Ne pas ennuyer et réussir à émouvoir".
Le brillant cinéaste aussi doux que caustique conte ses collaborations avec Raoul Ruiz ou encore Jacques Rivette. En bonus : des anecdotes croustillantes !
Le mot de la fin de la cérémonie d’ouverture revient à sa coscénariste, Agnès de Sacy : "L’écriture est un moyen de trouver la clé de chambres interdites".

"Le destin du cinéma français se trouve au fond des encriers". C’est en ces mots qu’Isabelle Massot, déléguée générale, déclare ouverte la 19ème édition du Festival International des Scénaristes de Valence.
Les discours de remerciements se succèdent sur l’éblouissante scène nationale du Lux. L’occasion pour le Préfet et le maire de la ville, Nicolas Daragon, de souhaiter la bienvenue aux festivaliers surexcités !
Animée par un Viktor Dekydère dynamique et mordant, la cérémonie est ponctuée de plusieurs interventions passionnantes.
L’occasion également de célébrer les vingt ans du CEEA, partenaire important du festival, avec la projection d’un film de montage drôle et original.
Pour ouvrir ce festival, ne pouvait-on pas rêver mieux que Pascal Bonitzer, venu présenter en avant-première son dernier opus Tout de suite, maintenant ? Fin, singulier et servi par un casting exceptionnel ; le film illustre le regard sur le cinéma du réalisateur : "Ne pas ennuyer et réussir à émouvoir".
Le brillant cinéaste aussi doux que caustique conte ses collaborations avec Raoul Ruiz ou encore Jacques Rivette. En bonus : des anecdotes croustillantes !
Le mot de la fin de la cérémonie d’ouverture revient à sa coscénariste, Agnès de Sacy : "L’écriture est un moyen de trouver la clé de chambres interdites".