Le Grand Jury fait son cinéma

Blog des étudiants du Master Pro Scénario (Nanterre) : La master class du Grand jury animé par Brigitte Rollet nous a ouvert les yeux sur la place qu’occupe les femmes dans le milieu du cinéma.

Madame la présidente Agnès de Sacy est venue accompagnée de toute son équipe pour nous parler de leurs expériences et de leur progression dans l’industrie cinématographique.
La discussion s’est ouverte sur quelques vérités qui ont permis d’éclairer la situation :
 plus le budget est conséquent, moins il a de chances d’être écrit ou réalisé par une femme.
 Béatrice Thiriet, compositrice : "les compositrices pour le cinéma dans le monde peuvent se compter sur les doigts d’une main"
 Isabelle Grellat, productrice, affirme que sa profession ne contient que 20% de femmes.
 la comédienne Sabrina Ouazani se confie sur les rôles peu profonds qu’elle reçoit, où les personnages féminins ont tendance à s’effacer face aux personnages masculins.

Et si les femmes ne se mettaient elles-mêmes pas une certaine pression au risque de se mettre des bâtons dans les roues ?
Sur le question de l’égalité des salaires homme/femme, Solveig Anspach, insiste sur le fait qu’il faut savoir ce que son travail vaut et apprendre à ne pas se laisser exploiter, même si dans son cas cela a prit de nombreuses années. Elle rappelle également que le pouvoir des hommes dans le système repose surtout sur la place privilégiée qu’ils occupent à l’intérieur de celui-ci mais qu’elle n’est en rien un révélateur de leur talent supérieur.

Madame la présidente Agnès de Sacy est venue accompagnée de toute son équipe pour nous parler de leurs expériences et de leur progression dans l’industrie cinématographique.
La discussion s’est ouverte sur quelques vérités qui ont permis d’éclairer la situation :
 plus le budget est conséquent, moins il a de chances d’être écrit ou réalisé par une femme.
 Béatrice Thiriet, compositrice : "les compositrices pour le cinéma dans le monde peuvent se compter sur les doigts d’une main"
 Isabelle Grellat, productrice, affirme que sa profession ne contient que 20% de femmes.
 la comédienne Sabrina Ouazani se confie sur les rôles peu profonds qu’elle reçoit, où les personnages féminins ont tendance à s’effacer face aux personnages masculins.

Et si les femmes ne se mettaient elles-mêmes pas une certaine pression au risque de se mettre des bâtons dans les roues ?
Sur le question de l’égalité des salaires homme/femme, Solveig Anspach, insiste sur le fait qu’il faut savoir ce que son travail vaut et apprendre à ne pas se laisser exploiter, même si dans son cas cela a prit de nombreuses années. Elle rappelle également que le pouvoir des hommes dans le système repose surtout sur la place privilégiée qu’ils occupent à l’intérieur de celui-ci mais qu’elle n’est en rien un révélateur de leur talent supérieur.