Marathon de composition de musique pour l’image : présentation des projets

Les six compétiteurs sélectionnés parmi 60 candidats ont eu 48h pour composer la musique originale d’un film d’animation d’une petite dizaine de minutes, Le Client.

La nuit, la porte d’un hôtel, il pleut. Un client entre, traverse le hall désert, jusqu’à la réception. Il a rendez-vous pour un entretien le lendemain. L’atmosphère est tendue, l’homme commence à se douter qu’une inquiétante étrangeté règne dans ces lieux somptueux. Le client se retrouve entraîné dans un engrenage qui le mènera à l’aliénation. Des hommes mystérieux surgis d’une fresque le réduisent à la condition d’un chien, jusqu’à ce qu’il finisse par se comporter comme tel. Fantastique et monstruosité au menu.
Les six compositions alternent entre musique électronique planante ou stridente, inspiration contemporaine, jazz, musique épique, rock, staccato de cordes, tambours tribaux, fausse légèreté d’une mélodie mozartienne, et soutiennent le caractère anxiogène et dérangeant du film. Un jeu s’engage entre l’image et la musique, laquelle soit souligne certains effets visuels, soit s’inscrit en un contrepoint ironique.
Largement applaudis, Jérôme Carayol, Guillaume Demore, Clément Doumic, Benjamin Guigue-Rodet, Mathieu Parisot, et Clovis Schneider attendent désormais le verdict du jury présidé par Marco Prince. Résultat samedi soir !

La nuit, la porte d’un hôtel, il pleut. Un client entre, traverse le hall désert, jusqu’à la réception. Il a rendez-vous pour un entretien le lendemain. L’atmosphère est tendue, l’homme commence à se douter qu’une inquiétante étrangeté règne dans ces lieux somptueux. Le client se retrouve entraîné dans un engrenage qui le mènera à l’aliénation. Des hommes mystérieux surgis d’une fresque le réduisent à la condition d’un chien, jusqu’à ce qu’il finisse par se comporter comme tel. Fantastique et monstruosité au menu.
Les six compositions alternent entre musique électronique planante ou stridente, inspiration contemporaine, jazz, musique épique, rock, staccato de cordes, tambours tribaux, fausse légèreté d’une mélodie mozartienne, et soutiennent le caractère anxiogène et dérangeant du film. Un jeu s’engage entre l’image et la musique, laquelle soit souligne certains effets visuels, soit s’inscrit en un contrepoint ironique.
Largement applaudis, Jérôme Carayol, Guillaume Demore, Clément Doumic, Benjamin Guigue-Rodet, Mathieu Parisot, et Clovis Schneider attendent désormais le verdict du jury présidé par Marco Prince. Résultat samedi soir !