"Mes premiers pas de scénariste" avec Thomas Cailley

Thomas Cailley évoque avec humour ses débuts en tant qu’auteur et réalisateur, devant un parterre de « Bleus », jeunes scénaristes : du développement du scénario des Combattants à sa rencontre avec son producteur, il revient sur les différentes étapes qui ont jalonné son parcours.

Tout commence lorsque son frère adolescent achète un caméscope et lui demande d’écrire des histoires…
Voici en substance les précieux conseils qu’il a livrés pour inspirer les auteurs en devenir.
« L’écriture, c’est le cœur du mal »
« La relation avec un producteur, c’est de l’ordre du mariage »
« Plus on prépare, plus on travaille, plus il y a quelque chose de libéré dans la mise en scène »
« La fiction devient vite vide si elle n’est pas inspirée du réel, des tremblements du monde »
A propos de son film Les Combattants : « L’humour n’est pas évident : il est dans les silences, dans les regards »
« Ecrire. Ecrire tous les jours. Ne pas lâcher la plume ou le clavier »

Ce qu’on retient de cette intervention encourageante et accessible, c’est que le scénario, du moins au début, est le royaume de la débrouille, des prises d’initiatives et de la persévérance.
Et quand on lui demande ce qu’on peut lui souhaiter pour la suite ?
« On peut me souhaiter beaucoup d’amour. Ce qu’il y a de plus précieux, c’est de tomber amoureux des histoires qu’on raconte »

Tout commence lorsque son frère adolescent achète un caméscope et lui demande d’écrire des histoires…
Voici en substance les précieux conseils qu’il a livrés pour inspirer les auteurs en devenir.
« L’écriture, c’est le cœur du mal »
« La relation avec un producteur, c’est de l’ordre du mariage »
« Plus on prépare, plus on travaille, plus il y a quelque chose de libéré dans la mise en scène »
« La fiction devient vite vide si elle n’est pas inspirée du réel, des tremblements du monde »
A propos de son film Les Combattants : « L’humour n’est pas évident : il est dans les silences, dans les regards »
« Ecrire. Ecrire tous les jours. Ne pas lâcher la plume ou le clavier »

Ce qu’on retient de cette intervention encourageante et accessible, c’est que le scénario, du moins au début, est le royaume de la débrouille, des prises d’initiatives et de la persévérance.
Et quand on lui demande ce qu’on peut lui souhaiter pour la suite ?
« On peut me souhaiter beaucoup d’amour. Ce qu’il y a de plus précieux, c’est de tomber amoureux des histoires qu’on raconte »