Rencontre avec Marion Vernoux : sa force, elle est imprévisible !

Sous la chaleur du chapiteau, que retenir de l’interview de Marion Vernoux, présidente du Jury Film, par Viktor Dekyvère ? Réponse en 5 points !

1 - Un bon scénario, c’est une bonne idée de départ, lumineuse, ronde, qu’on étire comme un fil élastique et qui tient toutes ses promesses sans céder. C’est comme un champ de blé qu’il faudrait moissonner sans cesse.
2 - Transgressive à ses débuts, elle a le sentiment d’avoir peut-être fait trop de compromis vis-à-vis des agents, producteurs, chaînes de télévision.
3 – Avec le temps, elle a appris à apprécier certains de ses films qu’elle n’aimait pas forcément à leurs sorties. Inversement, certains films ancrés dans leur époque vieillissent plus vite.
4 – "La seule différence entre un film et téléfilm, c’est qu’un film ça sort, et qu’un téléfilm ça passe".
5 – Quand elle sera plus mûre, Marion aimerait écrire un film sur la mémoire et les camps, qui un film résonne avec son histoire familiale.

1 - Un bon scénario, c’est une bonne idée de départ, lumineuse, ronde, qu’on étire comme un fil élastique et qui tient toutes ses promesses sans céder. C’est comme un champ de blé qu’il faudrait moissonner sans cesse.
2 - Transgressive à ses débuts, elle a le sentiment d’avoir peut-être fait trop de compromis vis-à-vis des agents, producteurs, chaînes de télévision.
3 – Avec le temps, elle a appris à apprécier certains de ses films qu’elle n’aimait pas forcément à leurs sorties. Inversement, certains films ancrés dans leur époque vieillissent plus vite.
4 – "La seule différence entre un film et téléfilm, c’est qu’un film ça sort, et qu’un téléfilm ça passe".
5 – Quand elle sera plus mûre, Marion aimerait écrire un film sur la mémoire et les camps, qui un film résonne avec son histoire familiale.