Vendredi : Fictions et documentaires sonores et Courts métrages

Ce vendredi se clôture la compétition création avec la présentation de la sélection Fiction documentaire et sonore et court métrage.

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C’est une première pour le festival de Valence qui présente lors de cette édition des projets sonores. Cinq projets ont été sélectionnés, dont 2 documentaires et 3 fictions. Et la sélection nous est exposée par Valérie Ganne, marraine de la catégorie.

Déchiffrage, une fiction musicale, nous a d’abord été présenté par Zoé Memmi et Simon Dalmais qui interrogent la question de la raison d’être d’une œuvre à travers l’exploration sensorielle et poétique du livre Châtelet les Halles par une mise en abyme poétique.

Claire Latxague nous fait découvrir son projet Germaine ou de la retenue qui parcours les thématiques de la transmission et du tabou en plongeant dans un non-dit familial qui a structuré sa personne.

Nicolas Barbey nous propose une exploration du langage avec Le Conciliabule ondoyant avec son projet de fiction sonore qui questionne le rapport aux autres et le vivre ensemble. Son projet dénonce un langage trop souvent employé pour la domination et non pas assez pour l’échange et la rencontre avec l’Autre.

Le Masque, un projet de fiction présenté par Sara Ganem, nous emporte dans le quotidien d’une chômeuse. D’un humour très juste, ce projet met aussi en relief des thématiques et enjeux contemporains sociétaux. Finalement, qu’est-ce que réussir sa vie ?

Laurine Estrade clôt cette sélection avec la présentation de son projet Jeunesse 44, qui s’intéresse aux derniers mots des derniers témoins d’une époque. Ce projet revient sur des événements marquants de personnes âgées qui racontent avec émotion une parole, un témoignage inédit, à hauteur d’enfant.

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La sélection de courts métrages est présentée par Joris Morio, parrain du workshop. Simon Birman qui devait nous présenter son court métrage L’Œil gauche, n’a malheureusement pas pu se déplacer pour raisons personnelles. Les cinq autres projets sélectionnés nous ont été pitchés par leurs auteurs.

Yohan Granara nous a proposé un drame historique, Harki 62. En mars 62, deux hommes, deux anciens soldats de l’armée française, deux amis, vont devoir faire un choix déterminant qui remettra en question leur fraternité. La thématique de la trahison est mise en scène dans un contexte de tension et de violences.

Pauline Amelin présente Filles, une comédie douce-amère qui met en scène le jugement. Comment une petite fille de onze ans perçoit-elle sa mère, une femme extravertie et libre ? Quelle est la place du regard des autres sur notre manière de nous construire ? Un projet sur l’épanouissement autour d’un duo touchant d’une mère et de sa fille.

Amachaou est un projet que nous ont fait découvrir Isabelle Montoya et Eléa Richeux. Une rencontre touchante entre une petite-fille et son grand-père à travers un conte animé de 3 minutes au sein d’un court métrage en prises de vue réelles qui s’intéresse à la thématique de la transmission et du déracinement.

Swan Dupont nous a proposé son projet Le Dernier Homme de Vicky Venucci qui met en scène une jeune actrice pornographique qui vient retrouver son père. Ce retour au source questionne la pudeur en rendant compte d’un rapprochement doux et émouvant entre les deux protagonistes.

Andy Buron clôt cette sélection en nous pitchant Dans la boue. Un concept unique et visuel qui questionne l’impuissance et l’immobilité face à une situation d’horreur qui nous dépasse, d’un point de vue touchant. La représentation du soldat est prise d’un point de vue inédit par une approche très sensible.

Ce vendredi se clôture la compétition création avec la présentation de la sélection Fiction documentaire et sonore et court métrage.

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C’est une première pour le festival de Valence qui présente lors de cette édition des projets sonores. Cinq projets ont été sélectionnés, dont 2 documentaires et 3 fictions. Et la sélection nous est exposée par Valérie Ganne, marraine de la catégorie.

Déchiffrage, une fiction musicale, nous a d’abord été présenté par Zoé Memmi et Simon Dalmais qui interrogent la question de la raison d’être d’une œuvre à travers l’exploration sensorielle et poétique du livre Châtelet les Halles par une mise en abyme poétique.

Claire Latxague nous fait découvrir son projet Germaine ou de la retenue qui parcours les thématiques de la transmission et du tabou en plongeant dans un non-dit familial qui a structuré sa personne.

Nicolas Barbey nous propose une exploration du langage avec Le Conciliabule ondoyant avec son projet de fiction sonore qui questionne le rapport aux autres et le vivre ensemble. Son projet dénonce un langage trop souvent employé pour la domination et non pas assez pour l’échange et la rencontre avec l’Autre.

Le Masque, un projet de fiction présenté par Sara Ganem, nous emporte dans le quotidien d’une chômeuse. D’un humour très juste, ce projet met aussi en relief des thématiques et enjeux contemporains sociétaux. Finalement, qu’est-ce que réussir sa vie ?

Laurine Estrade clôt cette sélection avec la présentation de son projet Jeunesse 44, qui s’intéresse aux derniers mots des derniers témoins d’une époque. Ce projet revient sur des événements marquants de personnes âgées qui racontent avec émotion une parole, un témoignage inédit, à hauteur d’enfant.

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La sélection de courts métrages est présentée par Joris Morio, parrain du workshop. Simon Birman qui devait nous présenter son court métrage L’Œil gauche, n’a malheureusement pas pu se déplacer pour raisons personnelles. Les cinq autres projets sélectionnés nous ont été pitchés par leurs auteurs.

Yohan Granara nous a proposé un drame historique, Harki 62. En mars 62, deux hommes, deux anciens soldats de l’armée française, deux amis, vont devoir faire un choix déterminant qui remettra en question leur fraternité. La thématique de la trahison est mise en scène dans un contexte de tension et de violences.

Pauline Amelin présente Filles, une comédie douce-amère qui met en scène le jugement. Comment une petite fille de onze ans perçoit-elle sa mère, une femme extravertie et libre ? Quelle est la place du regard des autres sur notre manière de nous construire ? Un projet sur l’épanouissement autour d’un duo touchant d’une mère et de sa fille.

Amachaou est un projet que nous ont fait découvrir Isabelle Montoya et Eléa Richeux. Une rencontre touchante entre une petite-fille et son grand-père à travers un conte animé de 3 minutes au sein d’un court métrage en prises de vue réelles qui s’intéresse à la thématique de la transmission et du déracinement.

Swan Dupont nous a proposé son projet Le Dernier Homme de Vicky Venucci qui met en scène une jeune actrice pornographique qui vient retrouver son père. Ce retour au source questionne la pudeur en rendant compte d’un rapprochement doux et émouvant entre les deux protagonistes.

Andy Buron clôt cette sélection en nous pitchant Dans la boue. Un concept unique et visuel qui questionne l’impuissance et l’immobilité face à une situation d’horreur qui nous dépasse, d’un point de vue touchant. La représentation du soldat est prise d’un point de vue inédit par une approche très sensible.