Zoom sur la compét’ : Diamant noir

Pier Ulmann vivote à Paris, entre chantiers et larcins qu’il commet pour le compte de Rachid, sa seule « famille ». Son histoire le rattrape le jour où son père est retrouvé mort dans la rue, après une longue déchéance. Bête noire d’une riche famille de diamantaires basée à Anvers, il ne lui laisse rien, à part l’histoire de son bannissement par les Ulmann et une soif amère de vengeance.
Sur l’invitation de son cousin Gabi, Pier se rend à Anvers pour rénover les bureaux de la prestigieuse firme Ulmann. La consigne de Rachid est simple : « Tu vas là-bas pour voir, et pour prendre. »
Mais un diamant a beaucoup de facettes…

Premier film du jeune réalisateur parisien, Diamant noir est un drame poignant et visuellement éclatant qui dépeint l’industrie du diamant dans tout ce qu’elle a de plus mystérieux et attirant. Après une première scène lyrique et tranchante, le film nous emporte dans la spirale de la revanche et des liens familiaux dévastateurs au cours de près de deux heures intenses et portées par une superbe partition - omniprésente - composée par Olivier Marguerit.

Pier Ulmann vivote à Paris, entre chantiers et larcins qu’il commet pour le compte de Rachid, sa seule « famille ». Son histoire le rattrape le jour où son père est retrouvé mort dans la rue, après une longue déchéance. Bête noire d’une riche famille de diamantaires basée à Anvers, il ne lui laisse rien, à part l’histoire de son bannissement par les Ulmann et une soif amère de vengeance.
Sur l’invitation de son cousin Gabi, Pier se rend à Anvers pour rénover les bureaux de la prestigieuse firme Ulmann. La consigne de Rachid est simple : « Tu vas là-bas pour voir, et pour prendre. »
Mais un diamant a beaucoup de facettes…

Premier film du jeune réalisateur parisien, Diamant noir est un drame poignant et visuellement éclatant qui dépeint l’industrie du diamant dans tout ce qu’elle a de plus mystérieux et attirant. Après une première scène lyrique et tranchante, le film nous emporte dans la spirale de la revanche et des liens familiaux dévastateurs au cours de près de deux heures intenses et portées par une superbe partition - omniprésente - composée par Olivier Marguerit.