Laurent SAWREI

Comédien - Cadavre Exquis Géant

Les salles de spectacles d’improvisation ont eu Laurent Sawrei comme spectateur durant des années. Il se lance dans le grand bain en septembre 2010 avec Les Givrés de Valence. Après une année d’initiation, il suit les cours de « Et Compagnie », troupe professionnelle de Lyon. Au milieu de sa formation, il crée avec d’autres improvisateurs les troupes Bar à Quai à Valence et TILT à Lyon. Spécialiste de l’improvisation longue forme, il joue, arbitre, enseigne l’impro orientée par la vision organique de Del Close. Sa participation à des concepts d’impro en France, Belgique, Grèce et Etats-Unis lui permettent de proposer à ses partenaires de spectacle des formes différentes de jeu, souvent appelées impro à l’américaine. Initié à la technique de Meisner, au masque, au clown, au chant … il essaie toujours de réintégrer ces techniques au service de l’impro et laisse le spectateur faire sa part de chemin dans la construction de l’histoire. Il utilise comme mantra la phrase de Stevenson : « L’important ce n’est pas la destination, mais le voyage en lui-même. »

Les salles de spectacles d’improvisation ont eu Laurent Sawrei comme spectateur durant des années. Il se lance dans le grand bain en septembre 2010 avec Les Givrés de Valence. Après une année d’initiation, il suit les cours de « Et Compagnie », troupe professionnelle de Lyon. Au milieu de sa formation, il crée avec d’autres improvisateurs les troupes Bar à Quai à Valence et TILT à Lyon. Spécialiste de l’improvisation longue forme, il joue, arbitre, enseigne l’impro orientée par la vision organique de Del Close. Sa participation à des concepts d’impro en France, Belgique, Grèce et Etats-Unis lui permettent de proposer à ses partenaires de spectacle des formes différentes de jeu, souvent appelées impro à l’américaine. Initié à la technique de Meisner, au masque, au clown, au chant … il essaie toujours de réintégrer ces techniques au service de l’impro et laisse le spectateur faire sa part de chemin dans la construction de l’histoire. Il utilise comme mantra la phrase de Stevenson : « L’important ce n’est pas la destination, mais le voyage en lui-même. »