Entretien avec Etienne Mallet

Depuis quand venez-vous à Valence ?
C’est la première fois à vrai dire. J’y suis notamment en tant que parrain de Bérenger Thouin, l’un des cinq auteurs de la compétition long métrage, et je suis également intervenu avec d’autres producteurs dans le cadre d’une rencontre avec les participants du parcours Bleus.

Comment en êtes vous arrivé à la production ?
C’est un peu le fruit du hasard, comme souvent dans la vie. J’avais un passé de journaliste et je suis entré dans un groupe plutôt technique, sans personne avec un profil, disons, de « saltimbanque » comme moi. C’est comme ça que j’ai eu rapidement des responsabilités au sein du secteur image de ce groupe.

Quel « profil » de scénario cherchez-vous à produire ?
Il n’y a pas de règles strictes. Je ne me refuse aucun genre, je peux faire de la comédie comme du drame, des petits budgets ou des budgets plus importants. L’essentiel, c’est le talent : est-ce que c’est un film de qualité ? Est-ce que ça parle à un public ? Et pas forcément au grand public.

Est-ce que la production a beaucoup changé depuis que vous avez commencé ?
Le métier change oui. C’est plus rigoureux sur le plan financier. Plus international aussi. Et je pense que les bouleversements du paysage audiovisuel sont beaucoup plus forts et plus rapides qu’ils ne l’étaient dans les années 80 ou 90.

Votre film préféré ? Ou le grand film que vous auriez aimé produire ?
Je n’ai pas de bible, tout m’intéresse, et tous les films que j’aime forment un large panel très éclectique. Concernant le film que j’aurais voulu produire, ce n’est pas un grand film en termes de budget : c’est un film qui s’appelle La Vache , une comédie que nous avons eue entre les mains mais qui, pour diverses raisons, n’a finalement pas été produit chez nous.

Pouvez-vous nous parler du prochain projet de votre société ?
C’est une comédie qui s’appelle Le Dindon , réalisé par Jalil Lespert et avec Dany Boon. C’est un de nos films majeurs à venir, et sa sortie est prévue pour cet été.

Depuis quand venez-vous à Valence ?
C’est la première fois à vrai dire. J’y suis notamment en tant que parrain de Bérenger Thouin, l’un des cinq auteurs de la compétition long métrage, et je suis également intervenu avec d’autres producteurs dans le cadre d’une rencontre avec les participants du parcours Bleus.

Comment en êtes vous arrivé à la production ?
C’est un peu le fruit du hasard, comme souvent dans la vie. J’avais un passé de journaliste et je suis entré dans un groupe plutôt technique, sans personne avec un profil, disons, de « saltimbanque » comme moi. C’est comme ça que j’ai eu rapidement des responsabilités au sein du secteur image de ce groupe.

Quel « profil » de scénario cherchez-vous à produire ?
Il n’y a pas de règles strictes. Je ne me refuse aucun genre, je peux faire de la comédie comme du drame, des petits budgets ou des budgets plus importants. L’essentiel, c’est le talent : est-ce que c’est un film de qualité ? Est-ce que ça parle à un public ? Et pas forcément au grand public.

Est-ce que la production a beaucoup changé depuis que vous avez commencé ?
Le métier change oui. C’est plus rigoureux sur le plan financier. Plus international aussi. Et je pense que les bouleversements du paysage audiovisuel sont beaucoup plus forts et plus rapides qu’ils ne l’étaient dans les années 80 ou 90.

Votre film préféré ? Ou le grand film que vous auriez aimé produire ?
Je n’ai pas de bible, tout m’intéresse, et tous les films que j’aime forment un large panel très éclectique. Concernant le film que j’aurais voulu produire, ce n’est pas un grand film en termes de budget : c’est un film qui s’appelle La Vache , une comédie que nous avons eue entre les mains mais qui, pour diverses raisons, n’a finalement pas été produit chez nous.

Pouvez-vous nous parler du prochain projet de votre société ?
C’est une comédie qui s’appelle Le Dindon , réalisé par Jalil Lespert et avec Dany Boon. C’est un de nos films majeurs à venir, et sa sortie est prévue pour cet été.