Ingrid RAJAOMANANA

Grenobloise mi-malgache mi-allemande, Ingrid Rajaomanana aime mélanger les univers. Elle écrit autant des histoires contemporaines que des histoires décalées, de quoi réfléchir aux dérives dont le progrès pourrait nous menacer. Le court métrage Sans voix qu’elle a réalisé a été sélectionné en 2014 au festival international du court de Bangalore (BISFF-India) .

Présente sur le marché du 8 au 12 avril, à la recherche de partenaires pour produire ses courts métrages et développer ses scénarios de longs métrages.

Grenobloise mi-malgache mi-allemande, Ingrid Rajaomanana aime mélanger les univers. Elle écrit autant des histoires contemporaines que des histoires décalées, de quoi réfléchir aux dérives dont le progrès pourrait nous menacer. Le court métrage Sans voix qu’elle a réalisé a été sélectionné en 2014 au festival international du court de Bangalore (BISFF-India) .

Présente sur le marché du 8 au 12 avril, à la recherche de partenaires pour produire ses courts métrages et développer ses scénarios de longs métrages.