Lucie DECOCQ

Comme Bruno Dumont, elle a étudié la philosophie et comme Pierre Richard elle est nordiste et maladroite. Comme dans L’Auberge espagnole, elle a passé une année de folie dans un programme Erasmus (à Berlin). Et comme dans Les Hommes du Président, elle est suis journaliste… à La Voix du Nord. Une citation l’accompagne : « Après tout, la meilleure façon de parler de ce qu’on aime est d’en parler légèrement. » (Albert Camus).

Elle sort de l’atelier scénario de La Fémis (2014) lors duquel elle a commencé à écrire son premier long métrage. Elle a à sa disposition une V1 qui a besoin de mûrir encore un peu. C’est une comédie romantique qui flirte avec le merveilleux, "Echappée Belle" est son titre provisoire.
Elle a également écrit un court-métrage (Le CV) qu’elle a présenté à deux concours (département de l’Eure et festival du film européen à Lille), en cours de sélection.

Elle sera à Valence à partir du mercredi 8 avril au matin jusqu’au vendredi 10 avril, vers 16 h.

Comme Bruno Dumont, elle a étudié la philosophie et comme Pierre Richard elle est nordiste et maladroite. Comme dans L’Auberge espagnole, elle a passé une année de folie dans un programme Erasmus (à Berlin). Et comme dans Les Hommes du Président, elle est suis journaliste… à La Voix du Nord. Une citation l’accompagne : « Après tout, la meilleure façon de parler de ce qu’on aime est d’en parler légèrement. » (Albert Camus).

Elle sort de l’atelier scénario de La Fémis (2014) lors duquel elle a commencé à écrire son premier long métrage. Elle a à sa disposition une V1 qui a besoin de mûrir encore un peu. C’est une comédie romantique qui flirte avec le merveilleux, "Echappée Belle" est son titre provisoire.
Elle a également écrit un court-métrage (Le CV) qu’elle a présenté à deux concours (département de l’Eure et festival du film européen à Lille), en cours de sélection.

Elle sera à Valence à partir du mercredi 8 avril au matin jusqu’au vendredi 10 avril, vers 16 h.