La grande soirée de lancement de la 18e édition de Valence scénario

La salle du Lux était bondée lors de la cérémonie d’ouverture du 18e Festival des scénaristes de Valence.
Jury et invités ont tous fait un petit discours pour l’occasion.
Retour sur les citations les plus marquantes de la soirée.

La bande annonce du festival est projeté. Léo Karmann, le réalisateur, et Baptiste Vallet, le compositeur de musique, s’expriment :
"L’esprit du film s’inspire de mon expérience du festival : au départ on pense que c’est le marathon d’écriture et les idées qui fusent qui sont importants, mais en réalité c’est les rencontres et les échanges." (Léo Karmann)
"Pour la musique, on voulait que les idées comme autres petits éléments s’imbriquent les uns dans les autres jusqu’à combler tous les espaces sonores." (Baptiste Vallet)

Catherine Rossi-Batôt, directrice du Lux, souhaite la bienvenue aux festivaliers :
"C’est un plaisir de vous accueillir ici pour le Festival international des Scénaristes. Le Lux fonde ses actions sur les dialogues entre les arts visuels et les arts scéniques à travers des actions d’éducation artistique et culturelle. C’est une salle vouée aux innovations, aux nouvelles écritures transmédia et autres écritures de demain."

Anne-Laure Thibaut, adjointe culture du Maire de Valence, souhaite un bon anniversaire au festival et le félicite de sa longévité :
"18 ans ! Cela témoigne du succès du Festival international des scénaristes grâce à une ouverture progressive sur les métiers d’écritures audiovisuelles au public."

Cyril Désiré, le directeur du cinéma Le Navire et programmateur de la compétition film du festival s’étend sur la qualité de son rôle au sein du festival :
"Programmateur est un métier ingrat : il faut regarder énormément de film (petits rires) ... Je remercie donc l’inventeur de la touche "avance rapide" (grands éclats de rires)."

Isabelle Massot, Déléguée générale du Festival international des scénaristes revient sur 18 ans de fidélité :
"Qui aurez cru cela possible ? Voir une compétition de film dans un festival dont le concept est un festival sans film ?"
L’équipe et les partenaires sont chaudement remerciés pour leur travail et soutien.

Jean-Louis Livi, Président du Jury Film, répond aux questions du journaliste cinéma Thierry Colby sur ses 25 ans en tant qu’agent pour comédiens, réalisateur et auteurs, et ses 25 ans en tant que producteur :
"- Qu’est-ce que la conception du métier de producteur ?
C’est un agglomérat de métiers artistiques. Ça part de la folie mais il ne faut pas oublier que c’est une industrie. Et même si faire un film est toujours une entreprise compliquée, le bonheur de connaître ses créateurs, de voir une idée qui brille comme une étoile devenir réalité est un bonheur ineffable... Un producteur c’est quelqu’un qui commande des huîtres dans un restaurant en espérant trouver une perle dans une des huîtres afin de pouvoir payer l’addition du repas.
 Et qu’est-ce qu’un bon scénariste ?
Il faut d’abord rappeler que le scénariste est un créateur maltraité car il est le premier de la chaîne de fabrication. Il est donc le premier à être mal payé, et le premier à être critiqué pour son travail. Il doit fournir les idées et les textes avec peu de moyen. Il faut rendre hommage et réévaluer le travail de scénariste à sa juste valeur. On ne dira jamais qu’un film a été mal produit, alors qu’un film mal écrit...
"

La bande annonce du festival est projeté. Léo Karmann, le réalisateur, et Baptiste Vallet, le compositeur de musique, s’expriment :
"L’esprit du film s’inspire de mon expérience du festival : au départ on pense que c’est le marathon d’écriture et les idées qui fusent qui sont importants, mais en réalité c’est les rencontres et les échanges." (Léo Karmann)
"Pour la musique, on voulait que les idées comme autres petits éléments s’imbriquent les uns dans les autres jusqu’à combler tous les espaces sonores." (Baptiste Vallet)

Catherine Rossi-Batôt, directrice du Lux, souhaite la bienvenue aux festivaliers :
"C’est un plaisir de vous accueillir ici pour le Festival international des Scénaristes. Le Lux fonde ses actions sur les dialogues entre les arts visuels et les arts scéniques à travers des actions d’éducation artistique et culturelle. C’est une salle vouée aux innovations, aux nouvelles écritures transmédia et autres écritures de demain."

Anne-Laure Thibaut, adjointe culture du Maire de Valence, souhaite un bon anniversaire au festival et le félicite de sa longévité :
"18 ans ! Cela témoigne du succès du Festival international des scénaristes grâce à une ouverture progressive sur les métiers d’écritures audiovisuelles au public."

Cyril Désiré, le directeur du cinéma Le Navire et programmateur de la compétition film du festival s’étend sur la qualité de son rôle au sein du festival :
"Programmateur est un métier ingrat : il faut regarder énormément de film (petits rires) ... Je remercie donc l’inventeur de la touche "avance rapide" (grands éclats de rires)."

Isabelle Massot, Déléguée générale du Festival international des scénaristes revient sur 18 ans de fidélité :
"Qui aurez cru cela possible ? Voir une compétition de film dans un festival dont le concept est un festival sans film ?"
L’équipe et les partenaires sont chaudement remerciés pour leur travail et soutien.

Jean-Louis Livi, Président du Jury Film, répond aux questions du journaliste cinéma Thierry Colby sur ses 25 ans en tant qu’agent pour comédiens, réalisateur et auteurs, et ses 25 ans en tant que producteur :
"- Qu’est-ce que la conception du métier de producteur ?
C’est un agglomérat de métiers artistiques. Ça part de la folie mais il ne faut pas oublier que c’est une industrie. Et même si faire un film est toujours une entreprise compliquée, le bonheur de connaître ses créateurs, de voir une idée qui brille comme une étoile devenir réalité est un bonheur ineffable... Un producteur c’est quelqu’un qui commande des huîtres dans un restaurant en espérant trouver une perle dans une des huîtres afin de pouvoir payer l’addition du repas.
 Et qu’est-ce qu’un bon scénariste ?
Il faut d’abord rappeler que le scénariste est un créateur maltraité car il est le premier de la chaîne de fabrication. Il est donc le premier à être mal payé, et le premier à être critiqué pour son travail. Il doit fournir les idées et les textes avec peu de moyen. Il faut rendre hommage et réévaluer le travail de scénariste à sa juste valeur. On ne dira jamais qu’un film a été mal produit, alors qu’un film mal écrit...
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