Véronique GODARD

Autrice en voie de professionnalisation

Présence au festival :
Mercredi 3 au samedi 6 avril

Née à Cannes, Véronique Godard a grandi dans la lumière de la Méditerranée et du cinéma italien. En poursuivant des études littéraires en Sorbonne, elle découvre les toits bleus de Paris, la world music, les nuits fauves et les cinémas du quartier latin. Elle écrit de la poésie.

À 25 ans, c’est la traversé du Sahara pour enseigner au Sénégal. La minéralité et la lumière crue du désert la bouleversent. Prémisses d’un western à inscrire dans cet espace. Dix ans dans le Sahel qui laissent des traces rétiniennes. Elle découvre la littérature et le cinéma africains. Elle rédige des carnets de voyage, un début de roman et pratique le théâtre amateur. Premier couple, premier enfant. Retour en France.

Après une escale à Paris avec sa fille, elle repart pour assurer la direction des cours à l’Alliance française de Rome. C’est là que naît son fils aîné. Elle y retrouve ses racines, la langue maternelle et les ciels d’Italie.

Après quelques années d’enseignement à Paris, où elle organise des ateliers de théâtre, des voyages en Italie, des rencontres d’auteurs ou des festivals de cinéma pour ses élèves, nouvel amour, troisième enfant, avant de suivre son homme en Albanie, puis au Mali. Découverte des Balkans, des cicatrices de l’histoire, d’une nature sauvage au cœur de l’Europe. Traduction partielle de Spie e Zie de Siegmund Ginzberg, écriture de nouvelles. Avant le retour à la lumière blanche des Tropiques, à l’air saturé de latérite, aux bruits, aux couleurs, aux visages de l’Afrique. Elle commence un roman ; le projet de western prend corps.

Installée à Poitiers depuis bientôt dix ans, elle décide de se consacrer à l’écriture. Elle achève roman et scénario, écrit une tragédie après la catastrophe de Fukushima. Avec sa fille, maintenant cadreuse, elles ont des projets de scénario et de documentaire à quatre mains.

En 2014, jurée du livre Inter, elle défend le roman, primé, de Céline Minard, Faillir être flingué et découvre la littérature western : Guthrie, Haycox, Dorothy Johnson. Une révélation !

Elle garde une passion intacte pour la littérature et le cinéma. Derniers coups de cœur : Confiteor de Jaume Cabré, Camarade Papa de Gauz, Leto de Kirill Serebrennikov, Une Pluie sans fin de Dong Yue.
En ce moment, elle travaille à un récit polyphonique de l’émigration familiale.

Née à Cannes, Véronique Godard a grandi dans la lumière de la Méditerranée et du cinéma italien. En poursuivant des études littéraires en Sorbonne, elle découvre les toits bleus de Paris, la world music, les nuits fauves et les cinémas du quartier latin. Elle écrit de la poésie.

À 25 ans, c’est la traversé du Sahara pour enseigner au Sénégal. La minéralité et la lumière crue du désert la bouleversent. Prémisses d’un western à inscrire dans cet espace. Dix ans dans le Sahel qui laissent des traces rétiniennes. Elle découvre la littérature et le cinéma africains. Elle rédige des carnets de voyage, un début de roman et pratique le théâtre amateur. Premier couple, premier enfant. Retour en France.

Après une escale à Paris avec sa fille, elle repart pour assurer la direction des cours à l’Alliance française de Rome. C’est là que naît son fils aîné. Elle y retrouve ses racines, la langue maternelle et les ciels d’Italie.

Après quelques années d’enseignement à Paris, où elle organise des ateliers de théâtre, des voyages en Italie, des rencontres d’auteurs ou des festivals de cinéma pour ses élèves, nouvel amour, troisième enfant, avant de suivre son homme en Albanie, puis au Mali. Découverte des Balkans, des cicatrices de l’histoire, d’une nature sauvage au cœur de l’Europe. Traduction partielle de Spie e Zie de Siegmund Ginzberg, écriture de nouvelles. Avant le retour à la lumière blanche des Tropiques, à l’air saturé de latérite, aux bruits, aux couleurs, aux visages de l’Afrique. Elle commence un roman ; le projet de western prend corps.

Installée à Poitiers depuis bientôt dix ans, elle décide de se consacrer à l’écriture. Elle achève roman et scénario, écrit une tragédie après la catastrophe de Fukushima. Avec sa fille, maintenant cadreuse, elles ont des projets de scénario et de documentaire à quatre mains.

En 2014, jurée du livre Inter, elle défend le roman, primé, de Céline Minard, Faillir être flingué et découvre la littérature western : Guthrie, Haycox, Dorothy Johnson. Une révélation !

Elle garde une passion intacte pour la littérature et le cinéma. Derniers coups de cœur : Confiteor de Jaume Cabré, Camarade Papa de Gauz, Leto de Kirill Serebrennikov, Une Pluie sans fin de Dong Yue.
En ce moment, elle travaille à un récit polyphonique de l’émigration familiale.