Christophe GOUGEON

Parrain producteur
Marathon de composition de musique

Né à une époque où son prénom est accordé à beaucoup de ses contemporains en dépit de la révocation de la morale gnostique. Mi-ange, mi-blond, une fois l’enfance bucolique transgressée et le sacerdoce des timides accompli en Union Soviétique, il se réfugie à l’âge doré de ses études tardives en zone étrangère du côté de l’École de Francfort. Entre temps, à l’issue de sa participation à un concours d’aménagement urbain (en fait, la résorption des bidonvilles de la ville de Casablanca), il fait sans son diplôme d’État des débuts sacrilèges en agence d’architecture. De nouvelles perspectives s’ouvrent auprès d’un ancien conseiller aux Arts plastiques du Ministère de la Culture à la fin des années 80, et il s’occupe un temps de la reprise des programmes de la Sept dans les Pays d’Europe Centrale. Porté par l’élan des pourtant trop rares « libéraux » d’une agence de presse audiovisuelle toujours en exercice, il crée son propre bureau « exécutif » en 1998, pour lequel il aura finalement produit ou coproduit nombre de films de genre, aux formats et destins très différents. Le dernier en date pour le cinéma est le long-métrage de fiction de Philippe Fernandez, Cosmodrama, une comédie métaphysique et baroque dont la sortie en salles est prévue cette année. Le suivant et imminent, une fantaisie fantastique, Cavatine, de Jean-Charles Fitoussi.

Parrain producteur
Marathon de composition de musique

Né à une époque où son prénom est accordé à beaucoup de ses contemporains en dépit de la révocation de la morale gnostique. Mi-ange, mi-blond, une fois l’enfance bucolique transgressée et le sacerdoce des timides accompli en Union Soviétique, il se réfugie à l’âge doré de ses études tardives en zone étrangère du côté de l’École de Francfort. Entre temps, à l’issue de sa participation à un concours d’aménagement urbain (en fait, la résorption des bidonvilles de la ville de Casablanca), il fait sans son diplôme d’État des débuts sacrilèges en agence d’architecture. De nouvelles perspectives s’ouvrent auprès d’un ancien conseiller aux Arts plastiques du Ministère de la Culture à la fin des années 80, et il s’occupe un temps de la reprise des programmes de la Sept dans les Pays d’Europe Centrale. Porté par l’élan des pourtant trop rares « libéraux » d’une agence de presse audiovisuelle toujours en exercice, il crée son propre bureau « exécutif » en 1998, pour lequel il aura finalement produit ou coproduit nombre de films de genre, aux formats et destins très différents. Le dernier en date pour le cinéma est le long-métrage de fiction de Philippe Fernandez, Cosmodrama, une comédie métaphysique et baroque dont la sortie en salles est prévue cette année. Le suivant et imminent, une fantaisie fantastique, Cavatine, de Jean-Charles Fitoussi.