Ernest – L’after du Vendredi

Sur les toits de Valence, juste à côté du Lux 2.0, des bruits de foule et de musique résonnent. Bienvenue dans la soirée de l’after du Festival de Valence Scénario, à l’Ernest...

C’est la nuit. Le cadavre exquis géant de l’Imaginarium vient de s’achever en grande pompe. De petits groupes se forment : certains rentrent à leur hôtel, d’autres se concerte autour du programme ou d’une carte, et se motive pour rejoindre le mystérieux « Ernest ».

On apprend qu’il est adjacent au Lux 2.0, lieu incontournable du festival. Un videur se tient, costume noir devant une entrée anonyme. Les festivaliers timides se présentent sans trop savoir s’ils sont au bon endroit. On débarque alors dans un tout nouvel univers. De la musique électro tape sur les murs blancs de la grande cage d’escalier chromée. La musique se fait plus forte. Ouverture de porte : une salle, immense, s’étend tout autour du bar, avec des murs percés de grande fenêtre qui donnent sur les toits de Valence. La soirée bat son plein.

Des lampes noires baroques ornent les tables qui longent une autre cage d’escalier autrement plus belle que la précédente, cernée de fer forgé blanc. Le plafond, très haut, est soutenue par de grand poutre métallique style début de siècle, également peinte en blanc. Face à cette blancheur omniprésente, de larges feuilles de platane luminescentes et oranges courent sur les murs.

Mais l’espace ne s’arrête pas à cette grande pièce : dehors, une immense terrasse recouvre le toit de l’immeuble, où se dresse un champ de pots géants et lumineux. Une oasis ultra-moderne se dressant contre la douce nuit valentinoise.

Alors que le sommeil recouvre la ville, sur les toits, les esprits s’enivrent...

C’est la nuit. Le cadavre exquis géant de l’Imaginarium vient de s’achever en grande pompe. De petits groupes se forment : certains rentrent à leur hôtel, d’autres se concerte autour du programme ou d’une carte, et se motive pour rejoindre le mystérieux « Ernest ».

On apprend qu’il est adjacent au Lux 2.0, lieu incontournable du festival. Un videur se tient, costume noir devant une entrée anonyme. Les festivaliers timides se présentent sans trop savoir s’ils sont au bon endroit. On débarque alors dans un tout nouvel univers. De la musique électro tape sur les murs blancs de la grande cage d’escalier chromée. La musique se fait plus forte. Ouverture de porte : une salle, immense, s’étend tout autour du bar, avec des murs percés de grande fenêtre qui donnent sur les toits de Valence. La soirée bat son plein.

Des lampes noires baroques ornent les tables qui longent une autre cage d’escalier autrement plus belle que la précédente, cernée de fer forgé blanc. Le plafond, très haut, est soutenue par de grand poutre métallique style début de siècle, également peinte en blanc. Face à cette blancheur omniprésente, de larges feuilles de platane luminescentes et oranges courent sur les murs.

Mais l’espace ne s’arrête pas à cette grande pièce : dehors, une immense terrasse recouvre le toit de l’immeuble, où se dresse un champ de pots géants et lumineux. Une oasis ultra-moderne se dressant contre la douce nuit valentinoise.

Alors que le sommeil recouvre la ville, sur les toits, les esprits s’enivrent...