Conférence distribution et scénario

Rencontre avec trois personnages majeurs de la distribution cinématographique française.

Jeudi matin, une salle enthousiaste a assisté à la discussion qui réunissait Victor Saint-Macary, directeur artistique du département distribution de Gaumont, Étienne Ollagnier, co-gérant de Jour de Fête et Thomas Pibarot, directeur des acquisition de la société Le Pacte. Les trois intervenants sont revenus sur les secrets du travail de distributeur.

Courir les festivals, lire entre 200 et 600 scénarios, rencontrer des producteurs, leur agenda ne leur laisse aucun répit. Leur but : trouver le coup de cœur, le scénario ou le film qui leur fera oublier leurs contraintes financières et se lancer dans une aventure qui peut durer jusqu’à trois ans. Car les distributeurs investissent de l’argent, parfois directement dès l’idée originale, sous la forme de « MG » : le Minimum Garanti, qui peut s’élever jusqu’à « des sommes à six chiffres. » On l’aura compris, les distributeurs constituent un maillon essentiel de la création.

Alors quand et comment aborder un distributeur ? Chacun des distributeurs a sa manière de procéder : développement à la racine du scénario chez Gaumont, rencontre d’un couple de producteur/réalisateur au Pacte et chez Jour de Fête, tous se rejoignent néanmoins sur la possibilité de s’engager très tôt si l’idée originale les séduit. Bien qu’il n’y ait pas de recette pour taper dans l’œil d’un distributeur, il suffit souvent d’une rencontre pour déclencher le financement d’un projet. Comme l’affirme Thomas Pibarot, le « cinéma est un créateur de lien. »

Jeudi matin, une salle enthousiaste a assisté à la discussion qui réunissait Victor Saint-Macary, directeur artistique du département distribution de Gaumont, Étienne Ollagnier, co-gérant de Jour de Fête et Thomas Pibarot, directeur des acquisition de la société Le Pacte. Les trois intervenants sont revenus sur les secrets du travail de distributeur.

Courir les festivals, lire entre 200 et 600 scénarios, rencontrer des producteurs, leur agenda ne leur laisse aucun répit. Leur but : trouver le coup de cœur, le scénario ou le film qui leur fera oublier leurs contraintes financières et se lancer dans une aventure qui peut durer jusqu’à trois ans. Car les distributeurs investissent de l’argent, parfois directement dès l’idée originale, sous la forme de « MG » : le Minimum Garanti, qui peut s’élever jusqu’à « des sommes à six chiffres. » On l’aura compris, les distributeurs constituent un maillon essentiel de la création.

Alors quand et comment aborder un distributeur ? Chacun des distributeurs a sa manière de procéder : développement à la racine du scénario chez Gaumont, rencontre d’un couple de producteur/réalisateur au Pacte et chez Jour de Fête, tous se rejoignent néanmoins sur la possibilité de s’engager très tôt si l’idée originale les séduit. Bien qu’il n’y ait pas de recette pour taper dans l’œil d’un distributeur, il suffit souvent d’une rencontre pour déclencher le financement d’un projet. Comme l’affirme Thomas Pibarot, le « cinéma est un créateur de lien. »