"En sursis" d’Hélène Rosselet-Ruiz et Anne-Claire Jaulin au Forum des Auteurs.

Bruno Nahon (producteur) et Martin Valente (scénariste) accompagnent Hélène Rosselet-Ruiz et Anne-Claire Jaulin pour leur scénario "En sursis".

"Un projet d’une grande maturité qui a déjà une tension originelle très forte " et qui a emballé Bruno Nahon, leur parrain producteur.
Une belle façon de lancer les deux jeunes auteures dans la présentation de leur projet de film...

Un film social au pitch poignant. L’émotion de la salle est palpable. Face à une mère violente, Laure (20 ans) décide de s’enfuir avec sa soeur de 6 ans. Pour ne pas être séparées l’une de l’autre, Laure fait passer Manon pour sa fille. En reconstituant une cellule familiale à une heure de leur banlieue natale, Laure se retrouve à travailler à la chaîne dans une usine automobile et s’enfonce peu à peu dans le mensonge.

"Ça nous paraissait essentiel d’être précises sur le contexte, nous avons passé quatre jours dans des usines à Poissy et à Sochaux. L’usine c’est un lieu qu’on voit peu au cinéma, en tout cas pas comme on aimerait le voir", précisent-elles. C’est toutefois la relation entre deux sœurs et une mère néfaste qui constitue le désir initial des deux jeunes auteures et qui les fait écrire ce film à quatre mains.

Un beau projet auquel nous souhaitons longue vie.

"Un projet d’une grande maturité qui a déjà une tension originelle très forte " et qui a emballé Bruno Nahon, leur parrain producteur.
Une belle façon de lancer les deux jeunes auteures dans la présentation de leur projet de film...

Un film social au pitch poignant. L’émotion de la salle est palpable. Face à une mère violente, Laure (20 ans) décide de s’enfuir avec sa soeur de 6 ans. Pour ne pas être séparées l’une de l’autre, Laure fait passer Manon pour sa fille. En reconstituant une cellule familiale à une heure de leur banlieue natale, Laure se retrouve à travailler à la chaîne dans une usine automobile et s’enfonce peu à peu dans le mensonge.

"Ça nous paraissait essentiel d’être précises sur le contexte, nous avons passé quatre jours dans des usines à Poissy et à Sochaux. L’usine c’est un lieu qu’on voit peu au cinéma, en tout cas pas comme on aimerait le voir", précisent-elles. C’est toutefois la relation entre deux sœurs et une mère néfaste qui constitue le désir initial des deux jeunes auteures et qui les fait écrire ce film à quatre mains.

Un beau projet auquel nous souhaitons longue vie.