Fameux pitchs

Apprendre à faire son pitch est le problème de tout bon scénariste. Le Festival de Valence propose dans le cadre du Stand Up des bleus de revenir sur les principales problématiques de création des auteurs.

Marie Servane Bargy, agent d’auteurs pour l’agence Synapsis, nous accueille ce jeudi 9 avril à 9h sur la scène du Pop Up Cabaret, dans le cadre de l’Espace Bleus du festival dédié aux jeunes auteurs hors compétition désireux de s’exercer et de travailler leurs projets personnels.

De bonne humeur, un discours ponctué de petites blagues ou d’accroches, Marie Servane sait de quoi elle parle quand il s’agit de capter l’attention, mais surtout de la garder. Elle défend ainsi son point de vue : "on peut écrire le pitch avant d’avoir écrit le film. Il le faut même. Il y a des auteurs qui n’osent pas, car ils n’ont pas encore « tout mis en place ». Mais écrire c’est réécrire".
Mais le pitch est primordial. "C’est ce que j’appelle grossièrement « le mammouth »" : c’est déjà tout et en même l’évolution n’est pas finie. On y cite le protagoniste, son but, ses obstacles sans oublier de dire clairement quel est le point de vue ou parti pris du film. "Le pitch c’est comment dire en deux phrases ce dont je veux parler".

L’exercice du pitch n’est pas aisé pour tous. Avec une pointe d’humour, Marie Servane précise même que c’est souvent plus facile de pitcher le projet d’un autre que le sien. Les participants s’essayent même à l’exercice en direct et en impro sur leurs projets. Le parcours des bleus prévu par le Festival propose ainsi une rencontre instructive, mais aussi pratique par son aspect de mise en situation. Ghislain Cravatte, scénariste, directeur littéraire à Liaison-Cinématographique et créateur de 2A Développement, une structure de coaching scénario intervient également et fait son retour aux courageux volontaires qui se sont prêtés au jeu.

Marie Servane Bargy, agent d’auteurs pour l’agence Synapsis, nous accueille ce jeudi 9 avril à 9h sur la scène du Pop Up Cabaret, dans le cadre de l’Espace Bleus du festival dédié aux jeunes auteurs hors compétition désireux de s’exercer et de travailler leurs projets personnels.

De bonne humeur, un discours ponctué de petites blagues ou d’accroches, Marie Servane sait de quoi elle parle quand il s’agit de capter l’attention, mais surtout de la garder. Elle défend ainsi son point de vue : "on peut écrire le pitch avant d’avoir écrit le film. Il le faut même. Il y a des auteurs qui n’osent pas, car ils n’ont pas encore « tout mis en place ». Mais écrire c’est réécrire".
Mais le pitch est primordial. "C’est ce que j’appelle grossièrement « le mammouth »" : c’est déjà tout et en même l’évolution n’est pas finie. On y cite le protagoniste, son but, ses obstacles sans oublier de dire clairement quel est le point de vue ou parti pris du film. "Le pitch c’est comment dire en deux phrases ce dont je veux parler".

L’exercice du pitch n’est pas aisé pour tous. Avec une pointe d’humour, Marie Servane précise même que c’est souvent plus facile de pitcher le projet d’un autre que le sien. Les participants s’essayent même à l’exercice en direct et en impro sur leurs projets. Le parcours des bleus prévu par le Festival propose ainsi une rencontre instructive, mais aussi pratique par son aspect de mise en situation. Ghislain Cravatte, scénariste, directeur littéraire à Liaison-Cinématographique et créateur de 2A Développement, une structure de coaching scénario intervient également et fait son retour aux courageux volontaires qui se sont prêtés au jeu.