« Imagine le reste » d’Hervé Commère, au Forum des auteurs de littérature.

Entouré de sa marraine productrice, Marie-Ange Luciani, et de son parrain scénariste, Olivier Gorce, Hervé Commère, auteur de quatre romans dont « Imagine le reste » est le dernier, se prête à l’exercice du pitch d’une voix chancelante mais décidée.

« Je m’excuse de ma voix tremblante, je suis un peu intimidé » commence-t-il détendant ainsi l’atmosphère d’un rire d’encouragement général.
« Imagine le reste » est l’histoire de quatre hommes qui voient leur vie bousculée par le vol d’un sac rempli de billets. Cette chronique d’une catastrophe annoncée pose la question suivante : qu’avons-nous fait de nos rêves ?
« Je veux raconter des histoires possibles qui arrivent à des quidams à qui, soudainement, il arrive quelque chose d’extraordinaire », dit Hervé Commère en répondant à la question concernant les motivations à l’origine de ce projet. « "Imaginer le reste" c’est aussi envisager le pire. » ajoute-t-il presque sibyllin.
Pour Olivier Gorce, ce livre est « d’une virtuosité dramaturgique. Pour l’adaptation de ce livre en long métrage il y a presque trop de choses. C’est un véritable défi qui se pose pour l’adaptation et qu’il est ici très excitant de relever. Seule une série très sophistiquée pourrait rendre compte de la complexité des points de vue et des personnages écrits par Hervé. »
Un long métrage dont nous n’avons plus qu’à imaginer le reste…

« Je m’excuse de ma voix tremblante, je suis un peu intimidé » commence-t-il détendant ainsi l’atmosphère d’un rire d’encouragement général.
« Imagine le reste » est l’histoire de quatre hommes qui voient leur vie bousculée par le vol d’un sac rempli de billets. Cette chronique d’une catastrophe annoncée pose la question suivante : qu’avons-nous fait de nos rêves ?
« Je veux raconter des histoires possibles qui arrivent à des quidams à qui, soudainement, il arrive quelque chose d’extraordinaire », dit Hervé Commère en répondant à la question concernant les motivations à l’origine de ce projet. « "Imaginer le reste" c’est aussi envisager le pire. » ajoute-t-il presque sibyllin.
Pour Olivier Gorce, ce livre est « d’une virtuosité dramaturgique. Pour l’adaptation de ce livre en long métrage il y a presque trop de choses. C’est un véritable défi qui se pose pour l’adaptation et qu’il est ici très excitant de relever. Seule une série très sophistiquée pourrait rendre compte de la complexité des points de vue et des personnages écrits par Hervé. »
Un long métrage dont nous n’avons plus qu’à imaginer le reste…