"Média Entity" de Simon Kansara et Émilie Tarascou au Forum des auteurs.

L’adaptation de cette bande-dessinée d’anticipation en prise de vues réelles est parrainée par Jean-Christophe Reymond (producteur) et Jérôme Fansten (scénariste)

Avant même de commencer à pitcher, Simon Kansara, auteur de la BD et scénariste du film, lance un film annonce tiré des images de la BD qui immerge d’emblée la salle dans cet univers à la réalité familière et décalée...étrangement inquiétante...

Si la BD se consacre à un large univers, l’adaptation proposée pour la fiction s’attache à un seul personnage : Johanna, adolescente trimballée depuis sa prime jeunesse d’école en école qui s’est inventée une vie meilleure que la sienne, pense-t’elle, sur les réseaux sociaux. Jusqu’à ce qu’un jour, son avatar prenne le contrôle de sa vie numérique, inventant mensonges sur mensonges et la mettant face à un dilemme : choisir entre sa meilleure amie et le garçon dont elle est amoureuse. La frontière entre vie réelle et numérique est de plus en plus ténue jusqu’à ne plus savoir où se situe la réalité...

La dessinatrice, cachée depuis le début derrière deux exemplaires de "sa" BD, prend la parole : "C’est un peu un paradoxe pour moi car je suis illustratrice mais ce film doit être fait en prises de vue réelles et pas en images animées. Ça permettra de jouer sur la porosité du film entre la vie réel et la vie numérique."

"La question que soulève ce film c’est comment composer avec l’image qu’on a de nous même et celle qu’on renvoie et qu’on se compose face aux autres. D’ailleurs c’est la question que poseront les avatars à la fin du film : "Pourquoi serions-nous, avatars, moins réels que vous, humains ?"".

"C’est un projet relativement simple à produire mais très compliqué à mettre en scène" pour Jean-Christophe Reymond. "Comment filmer une histoire dont la majeure partie se déroule derrière des écrans ?". D’ailleurs Simon Kansara ne souhaite pas réaliser...

Le projet déstabilise la salle, peu habituée à l’anticipation, et soulève de nombreuses questions sur l’univers, la mise en scène et l’écriture de ce long métrage à un stade encore embryonnaire qu’il nous tarde de voir venir bousculer les écrans français.

Avant même de commencer à pitcher, Simon Kansara, auteur de la BD et scénariste du film, lance un film annonce tiré des images de la BD qui immerge d’emblée la salle dans cet univers à la réalité familière et décalée...étrangement inquiétante...

Si la BD se consacre à un large univers, l’adaptation proposée pour la fiction s’attache à un seul personnage : Johanna, adolescente trimballée depuis sa prime jeunesse d’école en école qui s’est inventée une vie meilleure que la sienne, pense-t’elle, sur les réseaux sociaux. Jusqu’à ce qu’un jour, son avatar prenne le contrôle de sa vie numérique, inventant mensonges sur mensonges et la mettant face à un dilemme : choisir entre sa meilleure amie et le garçon dont elle est amoureuse. La frontière entre vie réelle et numérique est de plus en plus ténue jusqu’à ne plus savoir où se situe la réalité...

La dessinatrice, cachée depuis le début derrière deux exemplaires de "sa" BD, prend la parole : "C’est un peu un paradoxe pour moi car je suis illustratrice mais ce film doit être fait en prises de vue réelles et pas en images animées. Ça permettra de jouer sur la porosité du film entre la vie réel et la vie numérique."

"La question que soulève ce film c’est comment composer avec l’image qu’on a de nous même et celle qu’on renvoie et qu’on se compose face aux autres. D’ailleurs c’est la question que poseront les avatars à la fin du film : "Pourquoi serions-nous, avatars, moins réels que vous, humains ?"".

"C’est un projet relativement simple à produire mais très compliqué à mettre en scène" pour Jean-Christophe Reymond. "Comment filmer une histoire dont la majeure partie se déroule derrière des écrans ?". D’ailleurs Simon Kansara ne souhaite pas réaliser...

Le projet déstabilise la salle, peu habituée à l’anticipation, et soulève de nombreuses questions sur l’univers, la mise en scène et l’écriture de ce long métrage à un stade encore embryonnaire qu’il nous tarde de voir venir bousculer les écrans français.