Présentation du Workshop magic web labo : série web/transmédia par Antoine Cupial.

Aujourd’hui, les écrans se multiplient à une vitesse faramineuse dans les foyers. On le voit au Festival international des scénaristes : smartphones, tablettes, ordinateurs portables (mais aussi stations et claviers pour les musiciens) sont partout. Le graal, trouver des prises, des petits coins pour « se charger », recharger les batteries au sens propre du terme.
Le transmédia apparaît, à Valence plus qu’ailleurs, comme LA forme ultime, reliant la technologie au récit.

Pour Antoine Cupial, qui a commencé à s’intéresser au transmédia en 2005, tous les projets sélectionnés peuvent intéresser les producteurs, c’est ce qui l’a décidé à les choisir. « Ce que je recherche, en tant que producteur, c’est une bonne histoire, de bons personnages… Le nerf de la guerre ! » Les règles s’appliquent aussi bien au scénario « classique » qu’au transmédia qui réclame néanmoins une maîtrise quasi parfaite des outils numériques, réseaux sociaux, en plus du reste. « Le but à atteindre : proposer une expérience intéressante, beaucoup plus riche que juste spectateur de vidéo. »

« Quand on me parle d’un projet j’ai la calculatrice qui se met en route » plaisante-t-il. Antoine Cupial, qui a débuté en créant des start-ups et en les revendant, apporte son expertise de financier à Plaisir d’Offrir, la société de production (cinéma, télévision, transmédia) qu’il a fondée avec Elie G. Abécéra et qu’Anastasia Malinovskaya a rejointe en 2013, apportant son savoir-faire de productrice. L’entreprise fonctionne bien : elle aide à faire avancer les projets, à aider les auteurs dans leur recherche de coproductions mais elle ne prend actuellement plus de nouveaux projets.

Si Antoine Cupial, auteur avant tout, pouvait écrire avec n’importe qui : « Je ne suis pas vraiment tenté par l’expérience américaine. Ce qui est très précieux en France, c’est le droit d’auteur. Mais je dois avouer que si J. J. Abrahams m’appelait,.. » Antoine Cupial conclut dans un grand éclat de rire.

Son projet sur le feu : Panamericana Nueva, un road-movie documentaire transmédia qui se décline sur facebook, instagram… Vous pouvez aller jeter un œil : https://www.facebook.com/panamericana.nueva.

Pour Antoine Cupial, qui a commencé à s’intéresser au transmédia en 2005, tous les projets sélectionnés peuvent intéresser les producteurs, c’est ce qui l’a décidé à les choisir. « Ce que je recherche, en tant que producteur, c’est une bonne histoire, de bons personnages… Le nerf de la guerre ! » Les règles s’appliquent aussi bien au scénario « classique » qu’au transmédia qui réclame néanmoins une maîtrise quasi parfaite des outils numériques, réseaux sociaux, en plus du reste. « Le but à atteindre : proposer une expérience intéressante, beaucoup plus riche que juste spectateur de vidéo. »

« Quand on me parle d’un projet j’ai la calculatrice qui se met en route » plaisante-t-il. Antoine Cupial, qui a débuté en créant des start-ups et en les revendant, apporte son expertise de financier à Plaisir d’Offrir, la société de production (cinéma, télévision, transmédia) qu’il a fondée avec Elie G. Abécéra et qu’Anastasia Malinovskaya a rejointe en 2013, apportant son savoir-faire de productrice. L’entreprise fonctionne bien : elle aide à faire avancer les projets, à aider les auteurs dans leur recherche de coproductions mais elle ne prend actuellement plus de nouveaux projets.

Si Antoine Cupial, auteur avant tout, pouvait écrire avec n’importe qui : « Je ne suis pas vraiment tenté par l’expérience américaine. Ce qui est très précieux en France, c’est le droit d’auteur. Mais je dois avouer que si J. J. Abrahams m’appelait,.. » Antoine Cupial conclut dans un grand éclat de rire.

Son projet sur le feu : Panamericana Nueva, un road-movie documentaire transmédia qui se décline sur facebook, instagram… Vous pouvez aller jeter un œil : https://www.facebook.com/panamericana.nueva.