Rencontre avec Vania Leturcq pour le film "L’année prochaine"

En compagnie de son co-scénariste Christophe Morand, Vania Leturcq raconte la genèse de son film L’ANNÉE PROCHAINE, en compétition du film.

En compétition au festival, L’année Prochaine est l’histoire douloureuse de deux jeunes filles, qui, au sortir de l’adolescence, entament une nouvelle vie à Paris, loin de la ville et de ceux qui les ont vu grandir.

A la fin de la projection de son film au cinéma le Navire, Vania Leturcq, scénariste et réalisatrice belge échange quelques mots avec un public encore sous le poids de l’émotion dégagée par ce récit sensible et violent d’émancipation, revenant brièvement sur la genèse du projet et ses choix de mise en scène.
« J’ai écrit le film longtemps toute seule, pendant 7 ans, tout en continuant à faire des courts-métrages et à travailler comme assistante. Puis j’ai rencontré Christophe dans un centre d’écriture. Notre rencontre s’est faite autour d’un film culte que l’on avait en commun ». Il s’agit de Trop de bonheur de Cédric Kahn, une autre histoire d’adolescence.

Ils ont retravaillé le scénario ensemble, renforçant la structure tout en veillant à conserver la spontanéité du récit initial de la jeune Belge, aux fortes influences autobiographiques. « Ça part toujours de moi, de mes émotions », confirme t-elle.

Quant à la question de la mise en image de ce scénario longuement façonné, Vania Leturcq souhaitait une réalisation sensorielle, faisant la part belle aux matières et textures, aux regards affables et aux souffrances profondes sur lesquels se pose sa caméra délicate, influencée par le cinéma sensitif de Claire Denis comme par celui de Darren Aronofsky.

Il est déjà temps de libérer la salle et de laisser la jeune réalisatrice conclure sur sa direction d’acteur et son rapport affranchi au scénario : « Les comédiennes était assez libres concernant les dialogues Je n’écris pas des mots d’auteurs, elles pouvait utiliser les mots qu’elle souhaitait, tant qu’ils racontaient ce qu’ils fallait qu’ils racontent ! »

En compétition au festival, L’année Prochaine est l’histoire douloureuse de deux jeunes filles, qui, au sortir de l’adolescence, entament une nouvelle vie à Paris, loin de la ville et de ceux qui les ont vu grandir.

A la fin de la projection de son film au cinéma le Navire, Vania Leturcq, scénariste et réalisatrice belge échange quelques mots avec un public encore sous le poids de l’émotion dégagée par ce récit sensible et violent d’émancipation, revenant brièvement sur la genèse du projet et ses choix de mise en scène.
« J’ai écrit le film longtemps toute seule, pendant 7 ans, tout en continuant à faire des courts-métrages et à travailler comme assistante. Puis j’ai rencontré Christophe dans un centre d’écriture. Notre rencontre s’est faite autour d’un film culte que l’on avait en commun ». Il s’agit de Trop de bonheur de Cédric Kahn, une autre histoire d’adolescence.

Ils ont retravaillé le scénario ensemble, renforçant la structure tout en veillant à conserver la spontanéité du récit initial de la jeune Belge, aux fortes influences autobiographiques. « Ça part toujours de moi, de mes émotions », confirme t-elle.

Quant à la question de la mise en image de ce scénario longuement façonné, Vania Leturcq souhaitait une réalisation sensorielle, faisant la part belle aux matières et textures, aux regards affables et aux souffrances profondes sur lesquels se pose sa caméra délicate, influencée par le cinéma sensitif de Claire Denis comme par celui de Darren Aronofsky.

Il est déjà temps de libérer la salle et de laisser la jeune réalisatrice conclure sur sa direction d’acteur et son rapport affranchi au scénario : « Les comédiennes était assez libres concernant les dialogues Je n’écris pas des mots d’auteurs, elles pouvait utiliser les mots qu’elle souhaitait, tant qu’ils racontaient ce qu’ils fallait qu’ils racontent ! »