La nuit décibel

Hier soir, la nuit des festivaliers a été bercée par deux concerts.
Les Off Model nous ont proposé une ambiance fiévreuse et électrique sous le chapiteau du village avec leur rock indie pop qui envoyait des décibels.
Anita, Fabrice, Louis, Léo et Ulrich nous ont communiqué de leur belle énergie.
Quelques sacs rouges du Festival de Valence ondulaient au rythme des danseurs dans un rock endiablé.

Du côté du Lézarts café, c’est une atmosphère hypnotique qui attendait les festivaliers avec Les Plastic People, composées de Valeria Pacella à la basse et Sébastien Ficagna au chant et à la guitare.
Sur un écran derrière eux, un film envoûtant et onirique était projeté qui mettait en valeur leur style electro cold rock, nostalgique de la new wave.
Un état de quasi transe circulait parmi les spectateurs.

En partant à la découverte de ces deux groupes drômois, les scénaristes avaient laissé tomber les stylos et les claviers pour vibrer tous ensemble au son de la musique.

Hier soir, la nuit des festivaliers a été bercée par deux concerts.
Les Off Model nous ont proposé une ambiance fiévreuse et électrique sous le chapiteau du village avec leur rock indie pop qui envoyait des décibels.
Anita, Fabrice, Louis, Léo et Ulrich nous ont communiqué de leur belle énergie.
Quelques sacs rouges du Festival de Valence ondulaient au rythme des danseurs dans un rock endiablé.

Du côté du Lézarts café, c’est une atmosphère hypnotique qui attendait les festivaliers avec Les Plastic People, composées de Valeria Pacella à la basse et Sébastien Ficagna au chant et à la guitare.
Sur un écran derrière eux, un film envoûtant et onirique était projeté qui mettait en valeur leur style electro cold rock, nostalgique de la new wave.
Un état de quasi transe circulait parmi les spectateurs.

En partant à la découverte de ces deux groupes drômois, les scénaristes avaient laissé tomber les stylos et les claviers pour vibrer tous ensemble au son de la musique.