Daniel Deshays

EXPLORATEUR DU SON

TUTEUR DE LA FORMATION PORTRAITS SONORES

Daniel Deshays a collaboré avec de nombreux cinéastes dont Chantal Akerman, Robert Bober, François Caillat, Jean-Michel Carré, Robert Doisneau, Philippe Garrel, Agnès Jaoui, Robert Kramer, Ariane Mnouchkine, Rithy Panh, Tarik Teguia…
Il a créé de nombreuses réalisations sonores pour le théâtre et particulièrement, depuis, 1982 avec Alain Françon.
Il a effectué la prise de son ou la création sonore de plus de 100 films, 175 pièces de théâtre et 250 disques.
Il est l’auteur de Pour une écriture du son (éditions Klincksieck, 2006) et dans la même collection, Entendre le cinéma (2010), un ouvrage sur l’écriture sonore cinématographique. Il est responsable de l’enseignement du son à l’École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT).
Il aime partager son expérience de ce qu’il a nommé « l’écriture du son », s’exprimant en ces termes :
« Et si l’on considérait le cinéma comme une gigantesque machine à faire entendre ? Une machine qui s’aiderait de l’image pour désigner et préciser l’écoute, une machine à dire le monde, conçue pour nous permettre de nous entendre ? Le sonore exige lui aussi sa mise en scène. Face à l’épaisseur du son, ne faudrait-il pas se résoudre à son éclaircissement ? »

Daniel Deshays a collaboré avec de nombreux cinéastes dont Chantal Akerman, Robert Bober, François Caillat, Jean-Michel Carré, Robert Doisneau, Philippe Garrel, Agnès Jaoui, Robert Kramer, Ariane Mnouchkine, Rithy Panh, Tarik Teguia…
Il a créé de nombreuses réalisations sonores pour le théâtre et particulièrement, depuis, 1982 avec Alain Françon.
Il a effectué la prise de son ou la création sonore de plus de 100 films, 175 pièces de théâtre et 250 disques.
Il est l’auteur de Pour une écriture du son (éditions Klincksieck, 2006) et dans la même collection, Entendre le cinéma (2010), un ouvrage sur l’écriture sonore cinématographique. Il est responsable de l’enseignement du son à l’École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT).
Il aime partager son expérience de ce qu’il a nommé « l’écriture du son », s’exprimant en ces termes :
« Et si l’on considérait le cinéma comme une gigantesque machine à faire entendre ? Une machine qui s’aiderait de l’image pour désigner et préciser l’écoute, une machine à dire le monde, conçue pour nous permettre de nous entendre ? Le sonore exige lui aussi sa mise en scène. Face à l’épaisseur du son, ne faudrait-il pas se résoudre à son éclaircissement ? »