Romain Villet

AUTEUR AU FORUM DE LITTÉRATURE

Né en 1979, je suis devenu aveugle à l’âge de quatre ans.
Paru en février 2014, Look est mon premier roman.
Lucien, le narrateur, est aveugle parce que ce livre, par-delà l’histoire d’amour qu’il raconte, est la première réponse de l’écrivain que je suis à la question : Quelles formes narratives peuvent dire la vie sans voir ?

Avec l’intention de poser cette même question aux caméras et à ceux qui les côtoient, je me réjouis de venir à Valence pour envisager les possibilités d’adaptation de ce livre à l’écran.

Que dire de plus ? Qu’en 2009 et 2010, j’ai réalisé deux documentaires radiophoniques de 52 minutes diffusés sur France culture dans l’émission Sur les docks. Le premier, « Victor et moi », parlait de l’incidence de la révolution numérique sur l’accès des aveugles à la lecture. Le second, « Accords perdus, à corps chantant », s’intéressait à la manière dont les musiciens entretiennent et sollicitent l’instrument qu’est leur propre corps.
Enfin (la chose a trop d’importance dans ma vie pour être tue), comme Lucien, le narrateur de Look, je suis pianiste de jazz et leader du Bopstine trio depuis 2006.

Né en 1979, je suis devenu aveugle à l’âge de quatre ans.
Paru en février 2014, Look est mon premier roman.
Lucien, le narrateur, est aveugle parce que ce livre, par-delà l’histoire d’amour qu’il raconte, est la première réponse de l’écrivain que je suis à la question : Quelles formes narratives peuvent dire la vie sans voir ?

Avec l’intention de poser cette même question aux caméras et à ceux qui les côtoient, je me réjouis de venir à Valence pour envisager les possibilités d’adaptation de ce livre à l’écran.

Que dire de plus ? Qu’en 2009 et 2010, j’ai réalisé deux documentaires radiophoniques de 52 minutes diffusés sur France culture dans l’émission Sur les docks. Le premier, « Victor et moi », parlait de l’incidence de la révolution numérique sur l’accès des aveugles à la lecture. Le second, « Accords perdus, à corps chantant », s’intéressait à la manière dont les musiciens entretiennent et sollicitent l’instrument qu’est leur propre corps.
Enfin (la chose a trop d’importance dans ma vie pour être tue), comme Lucien, le narrateur de Look, je suis pianiste de jazz et leader du Bopstine trio depuis 2006.