Cérémonie d’Ouverture

Il n’est pas toujours facile de déterminer quand et comment un festival acquiert ses lettres de noblesses. Est-ce une question de temps ? De réputation ? D’utilité ? Il est difficile de le dire. Cependant lors d’une cérémonie d’ouverture comme celle à laquelle nous venons d’assister, il est indéniable que le festival des scénaristes de Valence a sorti son épingle du jeu.

ll n’y a peut-être rien de hautement symbolique à une 22ème édition, pourtant quelque chose dans le déroulement de cette soirée a rendu évident que le festival de Valence est une institution qui a su trouver un équilibre dans le paysage cinématographique français.

Les partenaires et organisateurs du festival se sont succédés à la tribune, démontrant leur passion pour le cinéma et leur amour pour ce festival, leur dévotion à la défense des auteurs. Du discours tendre et imagé de la déléguée générale Isabelle Massot, aux hommages émouvant dressant un pont entre la carrière d’Agnès Varda et l’entérinement de la composition musicale dans la programmation, le festival du scénario de Valence a prouvé durant ce moment son poids, mais aussi son ambition : défendre les créateurs méconnus du cinéma français. Pour preuve de cet engagement, une courte scénette a été lue et interprétée par des acteurs. Drôle et informatif, le texte dénonce les difficultés du métier de scénariste avec ingéniosité.

La cérémonie s’est terminée par l’intervention inspirante de Valérie Leroy et la projection de son film Laissez-moi danser. Difficile de mieux conclure que par la mise à l’honneur de cette enfant du festival et de son film. En effet, après y avoir participé en tant que Bleue, Valérie Leroy a participé aux 48h où le scénario du court-métrage qu’elle nous a présenté a été conçu. C’est à Valence qu’elle a rencontré les producteurs qui lui permettront plus tard d’accéder à la short list des Césars.

Beau résumé des promesses tenues d’un festival qui prône la création et les rencontres.

ll n’y a peut-être rien de hautement symbolique à une 22ème édition, pourtant quelque chose dans le déroulement de cette soirée a rendu évident que le festival de Valence est une institution qui a su trouver un équilibre dans le paysage cinématographique français.

Les partenaires et organisateurs du festival se sont succédés à la tribune, démontrant leur passion pour le cinéma et leur amour pour ce festival, leur dévotion à la défense des auteurs. Du discours tendre et imagé de la déléguée générale Isabelle Massot, aux hommages émouvant dressant un pont entre la carrière d’Agnès Varda et l’entérinement de la composition musicale dans la programmation, le festival du scénario de Valence a prouvé durant ce moment son poids, mais aussi son ambition : défendre les créateurs méconnus du cinéma français. Pour preuve de cet engagement, une courte scénette a été lue et interprétée par des acteurs. Drôle et informatif, le texte dénonce les difficultés du métier de scénariste avec ingéniosité.

La cérémonie s’est terminée par l’intervention inspirante de Valérie Leroy et la projection de son film Laissez-moi danser. Difficile de mieux conclure que par la mise à l’honneur de cette enfant du festival et de son film. En effet, après y avoir participé en tant que Bleue, Valérie Leroy a participé aux 48h où le scénario du court-métrage qu’elle nous a présenté a été conçu. C’est à Valence qu’elle a rencontré les producteurs qui lui permettront plus tard d’accéder à la short list des Césars.

Beau résumé des promesses tenues d’un festival qui prône la création et les rencontres.