Scénaristes anonymes : les grands esprits se rencontrent

Table ronde organisée par le CNC – retours d’expériences : le parcours d’un jeune auteur

On le sait tous, le métier de scénariste peut être très solitaire.
Mais si cet aspect paraît évident dans la phase d’écriture, les scénaristes partagent pourtant beaucoup dans leur approche du travail.
Et c’est justement lors de ces discussions entre scénaristes aspirants et même confirmés qu’on le réalise.
On retrouve de nombreuses similitudes dans les méthodes enseignées en formation universitaire et en grandes écoles : exercices d’écriture sur les formats longs, courts ou encore sériels ; retours des professeurs, conseils des camarades sur les projets, etc. Peu importe le type de formation, il n’y a pas de secret ni méthode miracle pour écrire le scénario parfait : on gratte, on doute, on confronte et on recommence.
Et ce jusqu’à reproduire le processus dans le monde du travail. En écoutant ces auteurs jeunes et motivés qui, au fur et à mesure, n’hésitent pas à saisir le micro pour évoquer leur situation, se dégage un sentiment fort : il y a des moyens de réussir en tant que scénariste !
Beaucoup ont trouvé leur voie par le biais des aides du CNC, de régions mais aussi des producteurs. Le mot d’ordre : ne rien lâcher et savoir faire la différence entre avis expéditif et critique constructive. Il faut se renseigner et parler, surtout.
C’est exactement ce qui se passe à Valence. On parle, on raconte notre parcours, on note les adresses, on applaudit les réussites de chacun et on soutient les dures épreuves d’un hochement de tête compréhensif. Alors oui, être scénariste n’est pas si simple, mais rien que de constater qu’on partage les mêmes doutes et qu’il existe des moyens de s’en sortir, c’est plus que motivant : c’est inspirant.

On le sait tous, le métier de scénariste peut être très solitaire.
Mais si cet aspect paraît évident dans la phase d’écriture, les scénaristes partagent pourtant beaucoup dans leur approche du travail.
Et c’est justement lors de ces discussions entre scénaristes aspirants et même confirmés qu’on le réalise.
On retrouve de nombreuses similitudes dans les méthodes enseignées en formation universitaire et en grandes écoles : exercices d’écriture sur les formats longs, courts ou encore sériels ; retours des professeurs, conseils des camarades sur les projets, etc. Peu importe le type de formation, il n’y a pas de secret ni méthode miracle pour écrire le scénario parfait : on gratte, on doute, on confronte et on recommence.
Et ce jusqu’à reproduire le processus dans le monde du travail. En écoutant ces auteurs jeunes et motivés qui, au fur et à mesure, n’hésitent pas à saisir le micro pour évoquer leur situation, se dégage un sentiment fort : il y a des moyens de réussir en tant que scénariste !
Beaucoup ont trouvé leur voie par le biais des aides du CNC, de régions mais aussi des producteurs. Le mot d’ordre : ne rien lâcher et savoir faire la différence entre avis expéditif et critique constructive. Il faut se renseigner et parler, surtout.
C’est exactement ce qui se passe à Valence. On parle, on raconte notre parcours, on note les adresses, on applaudit les réussites de chacun et on soutient les dures épreuves d’un hochement de tête compréhensif. Alors oui, être scénariste n’est pas si simple, mais rien que de constater qu’on partage les mêmes doutes et qu’il existe des moyens de s’en sortir, c’est plus que motivant : c’est inspirant.