Les Bleus et le concept de "fausse bonne idée"

Marie Masmonteil, productrice chez Elzévir, et Jacques Martineau, scénariste et enseignant dans le master Scénario de Nanterre, étaient invités à répondre à la question « comment débusquer une mauvaise idée de scénario, et comment lui dire au revoir ».
Un module modéré par l’équipe de Backstory.

« La fausse bonne idée n’existe pas », c’est par ces mots que Jacques Martineau introduit son intervention sur… la fausse bonne idée.
Face à ce paradoxe, il a demandé à la productrice Marie Masmonteil de l’épauler pour traiter de ce faux bon sujet qui le mettait dans l’embarras.
Mais ils s’en sont très bien sortis ! l’intervention ayant pris la forme d’une série d’anecdotes plus intéressantes les unes que les autres.

Des conseils avisés d’Agnès Varda que Jacques Martineau s’est empressé de ne pas suivre, le scénariste tire une leçon « N’écoutez pas les vieux, enfin si, entendez-les, mais ne les écoutez pas ». Autant vous dire qu’après ce premier conseil, le jeune scénariste en prise au doute et à l’angoisse, se détend.

Finalement, la discussion a plus porté sur le cœur du projet, le désir qui anime son auteur, que sur le concept de mauvaise idée. Car un projet peut perdre son fil directeur en cour de route, mais nulle fatalité là-dedans, le désir peut se réactiver. Et remplacez l’idée de poubelle par celle de tiroir, un endroit bien plus accueillant pour vos manuscrits inaboutis. Qui sait si les idées qu’il contient ne vous resserviront pas plus tard ?

« La fausse bonne idée n’existe pas », c’est par ces mots que Jacques Martineau introduit son intervention sur… la fausse bonne idée.
Face à ce paradoxe, il a demandé à la productrice Marie Masmonteil de l’épauler pour traiter de ce faux bon sujet qui le mettait dans l’embarras.
Mais ils s’en sont très bien sortis ! l’intervention ayant pris la forme d’une série d’anecdotes plus intéressantes les unes que les autres.

Des conseils avisés d’Agnès Varda que Jacques Martineau s’est empressé de ne pas suivre, le scénariste tire une leçon « N’écoutez pas les vieux, enfin si, entendez-les, mais ne les écoutez pas ». Autant vous dire qu’après ce premier conseil, le jeune scénariste en prise au doute et à l’angoisse, se détend.

Finalement, la discussion a plus porté sur le cœur du projet, le désir qui anime son auteur, que sur le concept de mauvaise idée. Car un projet peut perdre son fil directeur en cour de route, mais nulle fatalité là-dedans, le désir peut se réactiver. Et remplacez l’idée de poubelle par celle de tiroir, un endroit bien plus accueillant pour vos manuscrits inaboutis. Qui sait si les idées qu’il contient ne vous resserviront pas plus tard ?