Les bleus à l’épreuve

Dans la foule, les bleus se préparent. Aspirants scénaristes, c’est sur la scène du chapiteau du village qu’ils devront pendant une minute (et une minute seulement) vendre leur projet de scénario et séduire le public — et surtout, le jury.

Les vingt candidats passés, c’est en effet lui qui nommera les huit lauréats. Les candidats s’enchaînent, et le public voyage au rythme intensif de l’exercice. De la Chine à la Suisse, des secrets de famille aux disparitions inquiétantes, les bleus ne manquent pas d’imagination et d’astuces pour séduire ceux qui les écoutent.
On peut déplorer la « simplicité » l’exercice qui malheureusement ne fait pas justice à toutes les idées. Si un bleu a le malheur de ne pas être le plus à l’aise à l’oral, de ne pas être commercial, si son idée est malheureusement trop résumée et simplifiée, perdant toute sa subtilité, il a bien moins de chance de séduire le public.
L’exercice est compliqué. Il faut saluer le courage des jeunes scénaristes, plus ou moins expérimentés, qui affrontent tour à tour la salle qu’ils tentent de séduire avec leurs histoires originales. Le public était néanmoins plein de compréhension et d’attention, près à soutenir les jeunes scénaristes qui, finalement, faisaient partie de leurs semblables. Une épreuve du feu qui leur aura sans doutes appris à dompter leur peur, ou au moins leur aura donné un petit aperçu de la vie de scénariste, qui consiste à pitcher constamment…
Une pensée à ces créateurs en herbe plein de ressources qui, même s’ils n’ont pas tous été sélectionnés par le jury, nous auront épatés par leur imagination et potentiels.

Les vingt candidats passés, c’est en effet lui qui nommera les huit lauréats. Les candidats s’enchaînent, et le public voyage au rythme intensif de l’exercice. De la Chine à la Suisse, des secrets de famille aux disparitions inquiétantes, les bleus ne manquent pas d’imagination et d’astuces pour séduire ceux qui les écoutent.
On peut déplorer la « simplicité » l’exercice qui malheureusement ne fait pas justice à toutes les idées. Si un bleu a le malheur de ne pas être le plus à l’aise à l’oral, de ne pas être commercial, si son idée est malheureusement trop résumée et simplifiée, perdant toute sa subtilité, il a bien moins de chance de séduire le public.
L’exercice est compliqué. Il faut saluer le courage des jeunes scénaristes, plus ou moins expérimentés, qui affrontent tour à tour la salle qu’ils tentent de séduire avec leurs histoires originales. Le public était néanmoins plein de compréhension et d’attention, près à soutenir les jeunes scénaristes qui, finalement, faisaient partie de leurs semblables. Une épreuve du feu qui leur aura sans doutes appris à dompter leur peur, ou au moins leur aura donné un petit aperçu de la vie de scénariste, qui consiste à pitcher constamment…
Une pensée à ces créateurs en herbe plein de ressources qui, même s’ils n’ont pas tous été sélectionnés par le jury, nous auront épatés par leur imagination et potentiels.