Adolescent, Diégo passait son temps à bricoler sur le séquenceur que lui avait offert son oncle. À travers sa musique, il espérait transmettre aux autres des émotions. Mais à l’époque, il n’avait pour seuls interprètes que les synthétiseurs obsolètes de son logiciel et pour seul auditeur, un fidèle représentant de la race canine qui répondait au nom de Vivaldi. Aujourd’hui, après l’obtention d’un master de musique à l’image et la composition de plus d’une soixantaine de BO, Diégo règle un peu mieux ses instruments virtuels.