Joachim ROSSEL

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Participant Compétition Création Cinéma long métrage
Scénariste

Présence au festival :
Mercredi 1er au samedi 4 avril

Après des études de cinéma à la Sorbonne, Joachim Rossel entre en 2015 à la London Film School et participe à divers courts métrages et web séries sélectionnés et primés dans plusieurs festivals dont Locarno et Berlin, comme Batul et Filipinana.
Il écrit et réalise aussi ses propres courts métrages, d’un ton décalé qui frôle toujours le surréalisme : Circé, Among the Flowers, The Keeper… Il signe en 2018 son long métrage de fin d’études, Contes du Baron, une comédie qui se rêve film noir, traversée par des échappées de folie et d’absurde.

Il rentre ensuite en France et se met à écrire des scénarios, prenant souvent ses quartiers dans un genre bien établi. Car c’est dans le genre que le cinéma s’incarne dans ce qu’il a de fondamental, de symbolique, de naturel. Et alors, il aime suivre le commandement de Gébé : « on arrête tout, on fait un pas de côté ; et c’est pas triste. » Dévier les codes du genre pour leur redonner vie. Parce qu’il suffit parfois de changer un rapport de force dans l’intrigue, de glisser une réplique de l’un à l’autre, ou de faire du vilain le héros de l’histoire, pour qu’un scénario prenne son envol.

Après des études de cinéma à la Sorbonne, Joachim Rossel entre en 2015 à la London Film School et participe à divers courts métrages et web séries sélectionnés et primés dans plusieurs festivals dont Locarno et Berlin, comme Batul et Filipinana.
Il écrit et réalise aussi ses propres courts métrages, d’un ton décalé qui frôle toujours le surréalisme : Circé, Among the Flowers, The Keeper… Il signe en 2018 son long métrage de fin d’études, Contes du Baron, une comédie qui se rêve film noir, traversée par des échappées de folie et d’absurde.

Il rentre ensuite en France et se met à écrire des scénarios, prenant souvent ses quartiers dans un genre bien établi. Car c’est dans le genre que le cinéma s’incarne dans ce qu’il a de fondamental, de symbolique, de naturel. Et alors, il aime suivre le commandement de Gébé : « on arrête tout, on fait un pas de côté ; et c’est pas triste. » Dévier les codes du genre pour leur redonner vie. Parce qu’il suffit parfois de changer un rapport de force dans l’intrigue, de glisser une réplique de l’un à l’autre, ou de faire du vilain le héros de l’histoire, pour qu’un scénario prenne son envol.