En pleine écriture d’un moyen métrage nommé Je ne souffrirai pas, Hubert Benhamdine (comédien) profite du parcours Bleus pour se familiariser avec le monde des scénaristes et producteurs.

Entre deux séances au Pop’up Cabaret Hubert nous parle de son parcours et nous livre ses premières impressions du festival.

C’est ta première fois à Valence, par quoi as-tu été attiré ?

L’envie d’apprendre ! Lorsqu’on est acteur on ne touche aux projets qu’en fin de processus. Tout le travail de collaboration fait en amont par le scénariste, le producteur et le réalisateur nous échappe... et comme je suis en voie de professionnalisation j’ai encore plein de choses à apprendre sur ça !

Tu es arrivé ce matin, qu’as-tu le plus apprécié au cours de cette journée ?

Je dois pitcher mon projet la semaine prochaine au festival de Brive, et les rencontres du parcours Bleus me plaisent vraiment. Elle me permettent de me familiariser avec le langage des scénaristes, m’aident à comprendre les attentes des producteurs, et font tomber les idées reçues que je pouvais encore avoir.

Quelques mots sur ton film en cours d’écriture ?

Je ne souffrirai pas est une tragi-comédie. Le personnage rencontre en début de film une médium qui lui annonce qu’il est poursuivi par un fantôme féminin et revanchard. Au début le personnage ne croit pas un traitre mot de la prédiction, mais tout le reste du film va la confirmer et il devra y faire face.
Je ne souffrirai pas est un film sur les abimes de l’amour, les difficultés à aimer et le potentiel d’auto-destruction de la vie amoureuse. C’est une histoire de possession et les personnages féminins qui gravitent autour de ce personnage complètement foutraque amènent des ruptures hallucinantes. Même si ce film traite de la souffrance, je ris beaucoup en écrivant : le rythme, les contrastes et les dialogues relèvent de la comédie.

Si tu devais définir ton parcours en trois acte ?

L’émerveillement
La chute
Le meilleur est à venir

Quel est ton film préféré ?

Shame ou Respiro.

Quel serait le scénario que tu rêverais avoir écrit ?

La famille Tenenbaum de Wes Anderson !

C’est ta première fois à Valence, par quoi as-tu été attiré ?

L’envie d’apprendre ! Lorsqu’on est acteur on ne touche aux projets qu’en fin de processus. Tout le travail de collaboration fait en amont par le scénariste, le producteur et le réalisateur nous échappe... et comme je suis en voie de professionnalisation j’ai encore plein de choses à apprendre sur ça !

Tu es arrivé ce matin, qu’as-tu le plus apprécié au cours de cette journée ?

Je dois pitcher mon projet la semaine prochaine au festival de Brive, et les rencontres du parcours Bleus me plaisent vraiment. Elle me permettent de me familiariser avec le langage des scénaristes, m’aident à comprendre les attentes des producteurs, et font tomber les idées reçues que je pouvais encore avoir.

Quelques mots sur ton film en cours d’écriture ?

Je ne souffrirai pas est une tragi-comédie. Le personnage rencontre en début de film une médium qui lui annonce qu’il est poursuivi par un fantôme féminin et revanchard. Au début le personnage ne croit pas un traitre mot de la prédiction, mais tout le reste du film va la confirmer et il devra y faire face.
Je ne souffrirai pas est un film sur les abimes de l’amour, les difficultés à aimer et le potentiel d’auto-destruction de la vie amoureuse. C’est une histoire de possession et les personnages féminins qui gravitent autour de ce personnage complètement foutraque amènent des ruptures hallucinantes. Même si ce film traite de la souffrance, je ris beaucoup en écrivant : le rythme, les contrastes et les dialogues relèvent de la comédie.

Si tu devais définir ton parcours en trois acte ?

L’émerveillement
La chute
Le meilleur est à venir

Quel est ton film préféré ?

Shame ou Respiro.

Quel serait le scénario que tu rêverais avoir écrit ?

La famille Tenenbaum de Wes Anderson !