Rencontre avec Jean-Raymond Garcia, l’auteur qui se charge de trouver les bons projets pour Uproduction.

Jean-Raymond a connu le festival lorsqu’il se tenait encore à la Ciotat. Il l’a suivi à Bourges et aujourd’hui c’est sa deuxième année à Valence... Admettons-le : c’est un festival qu’il connaît plutôt bien. Nous l’avons rencontré après son intervention dans le cadre du Parcours Bleus.

Qu’est ce qui vous plait le plus dans le festival de Valence ?

Sa grande décontraction associée à du sérieux. C’est une manifestation chaleureuse où l’on ressent la volonté du personnel de transmettre. On a coutume de dire qu’on rencontre les gens plus facilement dans les festivals et celui-ci est surement celui qui génère le plus de rencontres aboutissant sur des projets concrets.

Comment décririez vous votre parcours ?

C’est d’abord un vrai goût pour le cinéma. J’adore voir les films dans les salles de cinéma et c’est comme ça que j’ai tissé mes premières connexions. Lorsque j’étais étudiant en droit je passais tellement de temps au cinéma qu’on croyait que j’y travaillais ! Et puis j’y ai rencontré un distributeur qui m’a pris en stage...
Ensuite il y a la notion de territoires... J’ai produit pendant vingt-cinq ans des politiques publiques : j’ai défini des points de vues, des objectifs...
Aujourd’hui c’est le retour aux sources. Je reviens aux films : ceux de Uproduction, mais aussi les miens et celui de ma compagne Anne-Marie Puga qui s’apprête à réaliser son premier long.

Vous travaillez actuellement sur un projet de moyen métrage : Un peu après minuit.

Oui, c’est un film d’effroi produit par Virginie films. Il raconte l’histoire d’une institutrice aveugle qui fait l’apprentissage de la sorcellerie. Le rôle sera tenu par India Hair et je défends le projet devant le comité de soutien la semaine prochaine !

Souhaitons-lui bonne chance !

Qu’est ce qui vous plait le plus dans le festival de Valence ?

Sa grande décontraction associée à du sérieux. C’est une manifestation chaleureuse où l’on ressent la volonté du personnel de transmettre. On a coutume de dire qu’on rencontre les gens plus facilement dans les festivals et celui-ci est surement celui qui génère le plus de rencontres aboutissant sur des projets concrets.

Comment décririez vous votre parcours ?

C’est d’abord un vrai goût pour le cinéma. J’adore voir les films dans les salles de cinéma et c’est comme ça que j’ai tissé mes premières connexions. Lorsque j’étais étudiant en droit je passais tellement de temps au cinéma qu’on croyait que j’y travaillais ! Et puis j’y ai rencontré un distributeur qui m’a pris en stage...
Ensuite il y a la notion de territoires... J’ai produit pendant vingt-cinq ans des politiques publiques : j’ai défini des points de vues, des objectifs...
Aujourd’hui c’est le retour aux sources. Je reviens aux films : ceux de Uproduction, mais aussi les miens et celui de ma compagne Anne-Marie Puga qui s’apprête à réaliser son premier long.

Vous travaillez actuellement sur un projet de moyen métrage : Un peu après minuit.

Oui, c’est un film d’effroi produit par Virginie films. Il raconte l’histoire d’une institutrice aveugle qui fait l’apprentissage de la sorcellerie. Le rôle sera tenu par India Hair et je défends le projet devant le comité de soutien la semaine prochaine !

Souhaitons-lui bonne chance !