Rencontre avec Lionel Amant et Simon Rey, agents d’auteur pour Film Talents.

Lionel Amant est un vieux de la vieille : le festival il le connait depuis l’époque de la Ciotat et ne l’a raté qu’à très peu d’occasions. Simon Rey vient quant à lui pour la seconde fois. Nous avons eu la chance de les rencontrer à la sortie de leur intervention pour le Parcours Bleu.

À l’origine, Lionel Amant était en charge de la filiale cinéma de M6. Mais tel le saumon qui remonte les courants, Lionel ressentait le désir personnel de se rapprocher des talents, de toucher aux projets avant qu’ils ne soient aboutis. Qu’à cela ne tienne : en 2004 il créé avec Valery Guibal l’agence Film Talents. Pourquoi devenir agent ? Cette idée venait d’abord d’un constat : la plupart des agents ne s’occupaient que des comédiens, et si Lionel ne voyait pas ce qu’il pourrait apporter aux acteurs il savait en revanche que son expérience pourrait bénéficier aux auteurs. Mais il y avait aussi une attirance pour ce savoureux équilibre entre économique, artistique et humain. Et Lionel ne s’est pas trompé : aujourd’hui Film Talents réunit cinq agents et ils aiment ce qu’ils font !

Pour Simon et Lionel le festival de Valence est une initiative formidable. Le travail du scénariste est crucial, sans lui même le meilleur des acteurs ne serait rien ! Pourtant, beaucoup de festivals ne se concentrent que sur les stars, les paillettes, l’amour... C’est bien et il faut de ça pour faire fonctionner l’industrie. Mais on en oublie ces travailleurs de l’ombre qui sont pourtant centraux. Heureusement la tendance commence à changer, notamment grâce aux séries qui les replacent sur le piédestal qu’ils méritent. Mais n’allons pas en déduire que Valence surfe sur une mode : le festival existe depuis si longtemps qu’il y a bien la preuve que quelque chose de profond et merveilleux se joue ici !

C’est donc avec plaisir que nos deux agents profitent une année de plus de cette ambiance détendue qu’ils apprécient tant. Et comme Lionel le souligne « J’aime les scénaristes : il y a des gens curieux, éclectiques, structurés, ouverts... et le festival a beaucoup contribué à leur donner la place qui leur revient ! ». Ne manque qu’une chose aux yeux de Simon, et que les organisateurs en prennent bonne note car elle est primordiale : « objectif de l’année prochaine : tapis rouge, montée des marches et convocation d’une armée de photographes !!! ».

À l’origine, Lionel Amant était en charge de la filiale cinéma de M6. Mais tel le saumon qui remonte les courants, Lionel ressentait le désir personnel de se rapprocher des talents, de toucher aux projets avant qu’ils ne soient aboutis. Qu’à cela ne tienne : en 2004 il créé avec Valery Guibal l’agence Film Talents. Pourquoi devenir agent ? Cette idée venait d’abord d’un constat : la plupart des agents ne s’occupaient que des comédiens, et si Lionel ne voyait pas ce qu’il pourrait apporter aux acteurs il savait en revanche que son expérience pourrait bénéficier aux auteurs. Mais il y avait aussi une attirance pour ce savoureux équilibre entre économique, artistique et humain. Et Lionel ne s’est pas trompé : aujourd’hui Film Talents réunit cinq agents et ils aiment ce qu’ils font !

Pour Simon et Lionel le festival de Valence est une initiative formidable. Le travail du scénariste est crucial, sans lui même le meilleur des acteurs ne serait rien ! Pourtant, beaucoup de festivals ne se concentrent que sur les stars, les paillettes, l’amour... C’est bien et il faut de ça pour faire fonctionner l’industrie. Mais on en oublie ces travailleurs de l’ombre qui sont pourtant centraux. Heureusement la tendance commence à changer, notamment grâce aux séries qui les replacent sur le piédestal qu’ils méritent. Mais n’allons pas en déduire que Valence surfe sur une mode : le festival existe depuis si longtemps qu’il y a bien la preuve que quelque chose de profond et merveilleux se joue ici !

C’est donc avec plaisir que nos deux agents profitent une année de plus de cette ambiance détendue qu’ils apprécient tant. Et comme Lionel le souligne « J’aime les scénaristes : il y a des gens curieux, éclectiques, structurés, ouverts... et le festival a beaucoup contribué à leur donner la place qui leur revient ! ». Ne manque qu’une chose aux yeux de Simon, et que les organisateurs en prennent bonne note car elle est primordiale : « objectif de l’année prochaine : tapis rouge, montée des marches et convocation d’une armée de photographes !!! ».