Rencontre avec Sophie Deloche, marraine productrice au forum des auteurs de littérature

Déjà marraine du marathon l’an passé, Sophie Deloche renouvelle l’expérience et accompagne cette fois-ci Boris Leroy, auteur de l’ouvrage Du Sexe.

Sophie Deloche est amoureuse des rencontres : il y a de nombreuses personnes formidables avec qui elle rêverait de travailler, mais un projet est avant tout une envie de se réunir ensemble autour d’un sujet. Or c’est bien là ce qui lui plait à Valence. L’an dernier, elle découvrait cette ambiance propice à l’échange qu’elle savoure à nouveau aujourd’hui.

Pourquoi le festival de Valence est-il si différent des autres ? Allez savoir, peut-être est-ce dû à l’absence de financiers, ou à la présence simultanée de professionnels du cinéma et de la télévision ? Toujours est-il que Valence a cette particularité de réunir les différents corps de métiers dans une chaleur bienveillante.

Mais le Festival international des scénaristes ce n’est pas que ça. C’est surtout une organisation aussi brillante qu’utile et nécessaire. On oublie souvent que les acteurs interprètent les personnages mais que ce ne sont pas eux qui les écrivent. « Il faut plus de reconnaissance pour les scénaristes ! Les critiques devraient porter plus d’attention au travail d’écriture et à la construction des personnages... Mais heureusement, il y a Valence ! »

Sophie Deloche est amoureuse des rencontres : il y a de nombreuses personnes formidables avec qui elle rêverait de travailler, mais un projet est avant tout une envie de se réunir ensemble autour d’un sujet. Or c’est bien là ce qui lui plait à Valence. L’an dernier, elle découvrait cette ambiance propice à l’échange qu’elle savoure à nouveau aujourd’hui.

Pourquoi le festival de Valence est-il si différent des autres ? Allez savoir, peut-être est-ce dû à l’absence de financiers, ou à la présence simultanée de professionnels du cinéma et de la télévision ? Toujours est-il que Valence a cette particularité de réunir les différents corps de métiers dans une chaleur bienveillante.

Mais le Festival international des scénaristes ce n’est pas que ça. C’est surtout une organisation aussi brillante qu’utile et nécessaire. On oublie souvent que les acteurs interprètent les personnages mais que ce ne sont pas eux qui les écrivent. « Il faut plus de reconnaissance pour les scénaristes ! Les critiques devraient porter plus d’attention au travail d’écriture et à la construction des personnages... Mais heureusement, il y a Valence ! »