Rencontre avec Thomas Pibarot, Directeur des acquisitions au Pacte

À l’occasion de la conférence sur le lien entre scénario et distribution à Lux 2.0 où il faisait une intervention, nous avons pu discuter avec Thomas Pibarot, qui s’occupe, entre autre, d’acheter les films sur scénario qui seront distribués par Le Pacte (Timbuktu, Hippocrate, Vincent n’a pas d’écailles...).

Alors qu’il était en chasse de nouvelles pépites au festival de Berlin de cette année, Thomas Pibarot rencontre, par hasard, les programmateurs en charge de la sélection de la compétition film du festival Valence Scénario 2015, à la sortie du film Victoria, qui fait partie de la sélection de cette première compétition. C’est à cette occasion, pur hasard, qu’on lui propose de participer à la conférence organisée par le festival autour de la distribution et du scénario.

C’est pour lui l’occasion de parler de son métier, distributeur, qui, à son goût, est trop mal connu du grand public, mais surtout des professionnels. Distributeur, c’est avant tout une passion, et la seule ligne éditoriale, dans le choix des scénarios retenus par Le Pacte, est celle du cœur, de l’enthousiasme. Lisant tous les scripts en interne, chaque membre de l’entreprise prend part à la recherche du script pour lequel tous pourront s’enthousiasmer, s’émouvoir, en tant que premier spectateur d’un film qui n’a pas encore vu le jour.

Au delà de la volonté de transmettre sa passion, le Festival Valence scénario, et par extension les festivals de cinéma en général, sont pour lui une occasion de rencontres, car le travail collaboratif qu’est le cinéma est avant tout humain. Il soutient un projet parce qu’il y a une vraie affinité avec l’auteur qui le porte, et le festival est le lieu privilégié de ces rencontres, autour des projections, des conférences ou encore des réceptions.

C’est aussi une manière de faire vivre, à travers cette conférence, les films qui l’ont ému, qu’il ne distribue pas forcément, comme ce fut le cas pour le film Victoria, et distribué par Étienne Ollagnier, fondateur de Jour de fête, et également présent à la conférence.

Si le distributeur n’est en général pas directement en contact avec les scénaristes (qui ont le producteur comme intermédiaire), Thomas Pibarot est toujours ouvert à la discussion, surtout s’il s’agit de parler de cinéma...

Alors qu’il était en chasse de nouvelles pépites au festival de Berlin de cette année, Thomas Pibarot rencontre, par hasard, les programmateurs en charge de la sélection de la compétition film du festival Valence Scénario 2015, à la sortie du film Victoria, qui fait partie de la sélection de cette première compétition. C’est à cette occasion, pur hasard, qu’on lui propose de participer à la conférence organisée par le festival autour de la distribution et du scénario.

C’est pour lui l’occasion de parler de son métier, distributeur, qui, à son goût, est trop mal connu du grand public, mais surtout des professionnels. Distributeur, c’est avant tout une passion, et la seule ligne éditoriale, dans le choix des scénarios retenus par Le Pacte, est celle du cœur, de l’enthousiasme. Lisant tous les scripts en interne, chaque membre de l’entreprise prend part à la recherche du script pour lequel tous pourront s’enthousiasmer, s’émouvoir, en tant que premier spectateur d’un film qui n’a pas encore vu le jour.

Au delà de la volonté de transmettre sa passion, le Festival Valence scénario, et par extension les festivals de cinéma en général, sont pour lui une occasion de rencontres, car le travail collaboratif qu’est le cinéma est avant tout humain. Il soutient un projet parce qu’il y a une vraie affinité avec l’auteur qui le porte, et le festival est le lieu privilégié de ces rencontres, autour des projections, des conférences ou encore des réceptions.

C’est aussi une manière de faire vivre, à travers cette conférence, les films qui l’ont ému, qu’il ne distribue pas forcément, comme ce fut le cas pour le film Victoria, et distribué par Étienne Ollagnier, fondateur de Jour de fête, et également présent à la conférence.

Si le distributeur n’est en général pas directement en contact avec les scénaristes (qui ont le producteur comme intermédiaire), Thomas Pibarot est toujours ouvert à la discussion, surtout s’il s’agit de parler de cinéma...