Rencontre avec Noé Debré, au Pop’up cabaret.

Noé Debré, disciple et co-scénariste de Thomas Bidegain nous parle de cinéma.

Depuis sept ans, Noé Debré travaille avec le désormais célèbre Thomas Bidegain, scénariste de Jacques Audiard (Un prophète, De Rouille et d’Os). "J’ai su que je voulais être scénariste assez tôt. J’ai écris à Thomas Bidegain en lui disant que, pour moi, ce métier est un artisanat et que j’aurais aimé être son apprenti. C’est comme ça que ça a commencé."

C’est donc aux côtés d’un scénariste chevronné que Noé Debré a fait ses armes. "D’abord j’ai fait la petite main sur ses projets... J’ai beaucoup appris en discutant, en l’écoutant", dit-il encore avec beaucoup d’admiration. Peu à peu, en se voyant presque quotidiennement, Noé gagne en assurance et se met à tenir la plume, toujours supervisé par Thomas Bidegain.

Il parle de son travail avec Jacques Audiard, "un homme exigeant qui écrit jusqu’à l’épuisement", ce qui nous rappelle qu’écrire c’est avant tout ré-écrire et que l’humilité est une des clés de ce métier. Il gagne ses galons et est même à l’initiative d’un film, "La crème de la crème" de Kim Chapiron, sorti en 2014.

Noé Debré pense le cinéma, a beaucoup de références. Il nous fait part des théories développées par Jacques Audiard et Thomas Bidegain au cours de leurs années de collaboration : "il faut réfléchir au film avant de réfléchir à l’histoire du film, penser le genre, définir la forme pour ensuite entrer dans le récit".
Des conseils utiles aux jeunes scénaristes présents dans le public, admiratifs du parcours de Noé Debré.

Depuis sept ans, Noé Debré travaille avec le désormais célèbre Thomas Bidegain, scénariste de Jacques Audiard (Un prophète, De Rouille et d’Os). "J’ai su que je voulais être scénariste assez tôt. J’ai écris à Thomas Bidegain en lui disant que, pour moi, ce métier est un artisanat et que j’aurais aimé être son apprenti. C’est comme ça que ça a commencé."

C’est donc aux côtés d’un scénariste chevronné que Noé Debré a fait ses armes. "D’abord j’ai fait la petite main sur ses projets... J’ai beaucoup appris en discutant, en l’écoutant", dit-il encore avec beaucoup d’admiration. Peu à peu, en se voyant presque quotidiennement, Noé gagne en assurance et se met à tenir la plume, toujours supervisé par Thomas Bidegain.

Il parle de son travail avec Jacques Audiard, "un homme exigeant qui écrit jusqu’à l’épuisement", ce qui nous rappelle qu’écrire c’est avant tout ré-écrire et que l’humilité est une des clés de ce métier. Il gagne ses galons et est même à l’initiative d’un film, "La crème de la crème" de Kim Chapiron, sorti en 2014.

Noé Debré pense le cinéma, a beaucoup de références. Il nous fait part des théories développées par Jacques Audiard et Thomas Bidegain au cours de leurs années de collaboration : "il faut réfléchir au film avant de réfléchir à l’histoire du film, penser le genre, définir la forme pour ensuite entrer dans le récit".
Des conseils utiles aux jeunes scénaristes présents dans le public, admiratifs du parcours de Noé Debré.