Rencontre avec deux marathoniennes : Léa Gotmann et Pauline Cancel.

Rencontre avec deux jeunes scénaristes du Marathon des scénarios.

Lors d’une visite à la maison des sociétés, dans la salle où planchent depuis déjà 24 heures les marathoniens du court-métrage, nous nous approchons de la table régie où se ravitaillent deux marathoniennes, Léa Gotmann et Pauline Cancel. Elles viennent de se rencontrer lorsqu’on les aborde pour leur poser quelques questions. Pauline est en licence de cinéma à Montpellier. Léa a fait partie de la première promotion de l’atelier scénario de l’ESEC à Paris.

Elles ont quarante-huit heures pour écrire chacune un scénario de court métrage, sans aucune autre limite qu’un sujet de départ soumis par la présidente du jury création, Céline Sciamma :
« La fête était réussie, glorieuse. Jusqu’à l’ouverture d’un cadeau anonyme. La découverte du paquet pourra avoir lieu en public ou dans le secret d’un aparté. En tous les cas, il y aura un avant et un après son ouverture »

« Un texte que l’on peut interpréter de plusieurs manières », commentent-elles. D’ailleurs, Pauline écrit un court-métrage d’anticipation, tandis que le scénario de Léa se déroule au Mali, dans le désert.

Qu’attendent-elles du marathon ? Une expérience unique et des rencontres ! Pourtant, pour le moment, elles n’ont pas encore eu le temps de créer de vrais liens avec les autres marathoniens, encore la tête plongée dans leur écran d’ordinateur, « tous dans leur petit monde ». C’est également un beau moyen de participer à un festival qui leur tient particulièrement à cœur, le seul à mettre autant en valeur le scénario.

Bientôt, deux parrains, un scénariste et un producteur seront désignés pour aider, par binôme, les marathoniens…

Quelques heures plus tard, on retrouve les deux marathoniennes lors du tirage au sort de leurs parrains d’écriture. Hasard ou coïncidence, elles se retrouvent finalement ensemble en binôme !
Deux prix sont à la clé, le prix du jury jeune et le prix du jury création. Mais quelle que soit l’issue de la compétition, le fruit de cette compétition ne sera pas perdu : « ce seront des scénarios sur lesquelles on aura envie de retravailler plus tard ! »

Rendez-vous à la fin de la semaine, donc, pour le résultat de ces épuisantes 48 heures !

Lors d’une visite à la maison des sociétés, dans la salle où planchent depuis déjà 24 heures les marathoniens du court-métrage, nous nous approchons de la table régie où se ravitaillent deux marathoniennes, Léa Gotmann et Pauline Cancel. Elles viennent de se rencontrer lorsqu’on les aborde pour leur poser quelques questions. Pauline est en licence de cinéma à Montpellier. Léa a fait partie de la première promotion de l’atelier scénario de l’ESEC à Paris.

Elles ont quarante-huit heures pour écrire chacune un scénario de court métrage, sans aucune autre limite qu’un sujet de départ soumis par la présidente du jury création, Céline Sciamma :
« La fête était réussie, glorieuse. Jusqu’à l’ouverture d’un cadeau anonyme. La découverte du paquet pourra avoir lieu en public ou dans le secret d’un aparté. En tous les cas, il y aura un avant et un après son ouverture »

« Un texte que l’on peut interpréter de plusieurs manières », commentent-elles. D’ailleurs, Pauline écrit un court-métrage d’anticipation, tandis que le scénario de Léa se déroule au Mali, dans le désert.

Qu’attendent-elles du marathon ? Une expérience unique et des rencontres ! Pourtant, pour le moment, elles n’ont pas encore eu le temps de créer de vrais liens avec les autres marathoniens, encore la tête plongée dans leur écran d’ordinateur, « tous dans leur petit monde ». C’est également un beau moyen de participer à un festival qui leur tient particulièrement à cœur, le seul à mettre autant en valeur le scénario.

Bientôt, deux parrains, un scénariste et un producteur seront désignés pour aider, par binôme, les marathoniens…

Quelques heures plus tard, on retrouve les deux marathoniennes lors du tirage au sort de leurs parrains d’écriture. Hasard ou coïncidence, elles se retrouvent finalement ensemble en binôme !
Deux prix sont à la clé, le prix du jury jeune et le prix du jury création. Mais quelle que soit l’issue de la compétition, le fruit de cette compétition ne sera pas perdu : « ce seront des scénarios sur lesquelles on aura envie de retravailler plus tard ! »

Rendez-vous à la fin de la semaine, donc, pour le résultat de ces épuisantes 48 heures !