La très belle vie

Retour enthousiaste sur le film La Belle vie de Jean Denizot, projeté vendredi soir au cinéma Le Navire dans le cadre du festival.

Quand on interroge les spectateurs qui ont eu la chance de voir le film en avant-première (il sort en salles le mercredi 9 avril), deux mots reviennent en boucle : « simple et juste ».

Et ce sont deux qualités suffisamment rares pour que le film mérite qu’on s’attarde sur lui car La Belle vie fait parti de ces quelques films qui nous font croire que le cinéma français a un avenir.

La Belle vie raconte l’histoire de deux adolescents, Pierre et Sylvain, enlevés et élevés par leur père suite au divorce des parents. Pendant une dizaine d’années, ils ont parcouru les chemins de traverse de France. Aujourd’hui, les deux enfants sont adolescents et veulent découvrir le monde.

La première chose qui m’a marqué dans le film, c’est la beauté du cadre et de la lumière. De la brume matinale et fantomatique des Pyrénées aux rives ensoleillées de la Loire, La Belle vie nous en fait voir de toutes les couleurs. Ces paysages sont particulièrement mis en valeur par la mise en scène toute en fluidité et maîtrisée de Jean Denizot.

Mais s’il n’y avait que ça ! Les acteurs sont tous excellents de justesse. Nicolas Bouchaud est impeccable en père à la fois aimant et kidnappeur, jouant en permanence sur un fil entre la tendresse et la folie. Et les deux fils, Zacharie Chasseriaud et Jules Pelissier sont tout aussi convaincant dans leurs rôles d’adolescents qui se confrontent à la société autant qu’à l’entrée dans l’âge adulte.

J’ai eu la chance de découvrir La Belle vie sans y être préparé et j’ai été ravi de bout en bout par cette histoire simple et juste (ce sont vraiment les mots), sans jugement ni parti pris que nous raconte le scénariste et réalisateur Jean Denizot. Je n’irais donc pas plus loin mais je conseille à tous de se rendre dans les salles dès le 9 avril pour voir cet excellent film.

Arthur

Quand on interroge les spectateurs qui ont eu la chance de voir le film en avant-première (il sort en salles le mercredi 9 avril), deux mots reviennent en boucle : « simple et juste ».

Et ce sont deux qualités suffisamment rares pour que le film mérite qu’on s’attarde sur lui car La Belle vie fait parti de ces quelques films qui nous font croire que le cinéma français a un avenir.

La Belle vie raconte l’histoire de deux adolescents, Pierre et Sylvain, enlevés et élevés par leur père suite au divorce des parents. Pendant une dizaine d’années, ils ont parcouru les chemins de traverse de France. Aujourd’hui, les deux enfants sont adolescents et veulent découvrir le monde.

La première chose qui m’a marqué dans le film, c’est la beauté du cadre et de la lumière. De la brume matinale et fantomatique des Pyrénées aux rives ensoleillées de la Loire, La Belle vie nous en fait voir de toutes les couleurs. Ces paysages sont particulièrement mis en valeur par la mise en scène toute en fluidité et maîtrisée de Jean Denizot.

Mais s’il n’y avait que ça ! Les acteurs sont tous excellents de justesse. Nicolas Bouchaud est impeccable en père à la fois aimant et kidnappeur, jouant en permanence sur un fil entre la tendresse et la folie. Et les deux fils, Zacharie Chasseriaud et Jules Pelissier sont tout aussi convaincant dans leurs rôles d’adolescents qui se confrontent à la société autant qu’à l’entrée dans l’âge adulte.

J’ai eu la chance de découvrir La Belle vie sans y être préparé et j’ai été ravi de bout en bout par cette histoire simple et juste (ce sont vraiment les mots), sans jugement ni parti pris que nous raconte le scénariste et réalisateur Jean Denizot. Je n’irais donc pas plus loin mais je conseille à tous de se rendre dans les salles dès le 9 avril pour voir cet excellent film.

Arthur