Première soirée au festival

Blog des étudiants du Master pro scénario (Nanterre)

Plongée dans le monde des scénaristes : le pot d’accueil du festival international des scénaristes de Valence.

Hier, c’était le pot d’accueil du festival des scénaristes. C’est la première fois que j’avais l’opportunité de me rendre dans une soirée de scénaristes. Il y a beaucoup de légendes urbaines qui circulent sur les festivités en marge des événements cinématographiques. Des yachts remplis de prostitués de tous les sexes, David Guetta aux platines, suffisamment de cocaïne pour rallier Paris à Roubaix, des pluies de champagne et de billets.
Du luxe. De la luxure. Une opulence folle.
C’est donc avec un mélange d’excitation et d’inquiétude (mais si un scénariste hyper connu dont je tairais le nom veut boire mon sang pour voir ce que ça fait, comment refuser ?) que je me suis rendu au Pop-Up cabaret, le point de ralliement éphémère du festival.
Ça commençait plutôt bien : Photocall une coupe de clairette de die à la main et le cd de David Guetta aux platines (sans doute la différence entre Valence et Cannes). Et on pénètre dans la soirée…
Et c’est une soirée normale en fait. On boit un peu. On mange des tiramisus. On discute. Classique quoi. Enfin, classique en mieux quand même. Il n’y a personne vautré sur un canapé perdu dans sa bière. On parle fort et de tout, du vin local avec les serveurs, de l’actualité du CNC, de l’avenir de la profession. Des extraits des premiers film de Disney et de Betty Boop sont projetés avec les Beatles en fond sonore. Bref, c’est le haut de gamme de la bonne soirée normale. Au bout d’un moment, on est ivre et tout le monde est déjà parti. Alors on s’embrasse et on rentre à l’hôtel un peu chancelant.
Je suis rassuré. Malgré toutes les histoires qu’ils inventent, les scénaristes sont des gens normaux. En plus beaux.

Arthur

Hier, c’était le pot d’accueil du festival des scénaristes. C’est la première fois que j’avais l’opportunité de me rendre dans une soirée de scénaristes. Il y a beaucoup de légendes urbaines qui circulent sur les festivités en marge des événements cinématographiques. Des yachts remplis de prostitués de tous les sexes, David Guetta aux platines, suffisamment de cocaïne pour rallier Paris à Roubaix, des pluies de champagne et de billets.
Du luxe. De la luxure. Une opulence folle.
C’est donc avec un mélange d’excitation et d’inquiétude (mais si un scénariste hyper connu dont je tairais le nom veut boire mon sang pour voir ce que ça fait, comment refuser ?) que je me suis rendu au Pop-Up cabaret, le point de ralliement éphémère du festival.
Ça commençait plutôt bien : Photocall une coupe de clairette de die à la main et le cd de David Guetta aux platines (sans doute la différence entre Valence et Cannes). Et on pénètre dans la soirée…
Et c’est une soirée normale en fait. On boit un peu. On mange des tiramisus. On discute. Classique quoi. Enfin, classique en mieux quand même. Il n’y a personne vautré sur un canapé perdu dans sa bière. On parle fort et de tout, du vin local avec les serveurs, de l’actualité du CNC, de l’avenir de la profession. Des extraits des premiers film de Disney et de Betty Boop sont projetés avec les Beatles en fond sonore. Bref, c’est le haut de gamme de la bonne soirée normale. Au bout d’un moment, on est ivre et tout le monde est déjà parti. Alors on s’embrasse et on rentre à l’hôtel un peu chancelant.
Je suis rassuré. Malgré toutes les histoires qu’ils inventent, les scénaristes sont des gens normaux. En plus beaux.

Arthur